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Il faut aussi revoir certains paragraphes et arrêter les positions des uns et des autres. La commission juridique du SNAV y travaille depuis 2003. L’année 2005 fut celle de la négociation.
Elle fut, précise le SNAV, souvent interrompue en raison de désaccords avec les organisations syndicales sur la classification basée sur des critères « classants » (technicité, autonomie et responsabilité). Néanmoins, en juillet 2005, un accord de salaires avait été signé entre le SNAV et les partenaires sociaux. Les SMIC étant unifiés, la grille de salaires est désormais unique.
Afin de proposer un appui aux entreprises et aux salariés qui auraient à appliquer la nouvelle grille, un groupe de travail paritaire (SNAV et les organisations syndicales salariés) a été créé. Il travaille à la rédaction d’un guide et de fiches emplois qui illustrent concrètement l’application de la méthode de classification.
"Un dossier lourd et à enjeu..."
Un nouveau rendez-vous est fixé pour le 30 mars prochain. Les partenaires sociaux et les représentants des différentes familles du SNAV vont donc reprendre le cours des discussions.
« Elles porteront notamment sur une approche technique des critères de classification, sur les salaires minima qui n’ont pas encore été abordés, sur la prévoyance ainsi que sur l’introduction des « classants » confirme Guy Besnard, président de la Commission des Affaires Sociales au SNAV.
Les négociations suivent leur cours avec lenteur, un rythme auquel Guy Besnard semble adapté. « La révisions et les classifications sont toujours un dossier lourd et à enjeu. Il est normal qu’il prenne un certain temps. Nous avons des divergences sur le nombre de niveaux. Mais il ne faut pas qu’il dure trop longtemps sinon on tourne en rond. Je suis convaincu que nous parviendrons à un accord sur les grands principes ».
Le rôle du SNAV est de travailler – entre autres dossiers – sur les salaires minima de branche avec la volonté de faire évoluer les salaires réels qui, eux, dépendent directement des entreprises.
Elle fut, précise le SNAV, souvent interrompue en raison de désaccords avec les organisations syndicales sur la classification basée sur des critères « classants » (technicité, autonomie et responsabilité). Néanmoins, en juillet 2005, un accord de salaires avait été signé entre le SNAV et les partenaires sociaux. Les SMIC étant unifiés, la grille de salaires est désormais unique.
Afin de proposer un appui aux entreprises et aux salariés qui auraient à appliquer la nouvelle grille, un groupe de travail paritaire (SNAV et les organisations syndicales salariés) a été créé. Il travaille à la rédaction d’un guide et de fiches emplois qui illustrent concrètement l’application de la méthode de classification.
"Un dossier lourd et à enjeu..."
Un nouveau rendez-vous est fixé pour le 30 mars prochain. Les partenaires sociaux et les représentants des différentes familles du SNAV vont donc reprendre le cours des discussions.
« Elles porteront notamment sur une approche technique des critères de classification, sur les salaires minima qui n’ont pas encore été abordés, sur la prévoyance ainsi que sur l’introduction des « classants » confirme Guy Besnard, président de la Commission des Affaires Sociales au SNAV.
Les négociations suivent leur cours avec lenteur, un rythme auquel Guy Besnard semble adapté. « La révisions et les classifications sont toujours un dossier lourd et à enjeu. Il est normal qu’il prenne un certain temps. Nous avons des divergences sur le nombre de niveaux. Mais il ne faut pas qu’il dure trop longtemps sinon on tourne en rond. Je suis convaincu que nous parviendrons à un accord sur les grands principes ».
Le rôle du SNAV est de travailler – entre autres dossiers – sur les salaires minima de branche avec la volonté de faire évoluer les salaires réels qui, eux, dépendent directement des entreprises.