Le Boeing 737 de la compagnie chypriote à bas prix Helios se rendait de Larnaca à Prague, via Athènes, quand l'accident s'est produit.
Le Boeing chypriote d'Helios Airways qui s'est écrasé le 14 août près d'Athènes, provoquant la mort de 121 personnes, n'avait pas été pressurisé par l'équipage, précise samedi Le Figaro.
"Dès le décollage, la valve de régulation à l'arrière du fuselage est restée ouverte (...). L'équipage a placé la vanne de pressurisation en mode manuel, donc ouverte, laissant l'avion à la pression atmosphérique", affirme le quotidien qui ne cite toutefois pas ses sources.
Le Figaro affirme avoir "eu connaissance de cette anomalie révélée par l'enregistreur de vol". Une semaine après l'accident, le chef de la commission d'enquête, Akrivos Tsolakis, avait révélé depuis Athènes que l'accident du Boeing était survenu à la suite d'un problème de pressurisation suivi d'une panne de carburant.
Début septembre, l'International Herald Tribune avait déjà expliqué que l'équipage n'était pas parvenu à identifier la dépressurisation de la cabine avant de subir lui-même le manque d'oxygène et de s'évanouir.
"Dès le décollage, la valve de régulation à l'arrière du fuselage est restée ouverte (...). L'équipage a placé la vanne de pressurisation en mode manuel, donc ouverte, laissant l'avion à la pression atmosphérique", affirme le quotidien qui ne cite toutefois pas ses sources.
Le Figaro affirme avoir "eu connaissance de cette anomalie révélée par l'enregistreur de vol". Une semaine après l'accident, le chef de la commission d'enquête, Akrivos Tsolakis, avait révélé depuis Athènes que l'accident du Boeing était survenu à la suite d'un problème de pressurisation suivi d'une panne de carburant.
Début septembre, l'International Herald Tribune avait déjà expliqué que l'équipage n'était pas parvenu à identifier la dépressurisation de la cabine avant de subir lui-même le manque d'oxygène et de s'évanouir.