" L'accident est dû à des causes météorologiques et à une perte de contrôle liée à un excès de givre sur les ailes et non à la mauvaise qualité de l'avion comme les médias l'ont" affirmé avec insistance", déclare Jorge Pérez, le directeur de West Caribbean, dans le journal El Colombiano.
L'avion avait signalé entrer dans une zone de fortes turbulences et a accumulé "tellement de glace qu'il n'est pas descendu le nez vers le bas mais vers le haut", indique M. Pérez.
El Colombiano cite, comme preuve supplémentaire, un rapport du Bureau national américain de la sécurité des transports (NTSB) qui était associé à l'enquête.
Changement d'altitude
"La formation de glace est un problème que l'équipage a tenté de résoudre en changeant d'altitude mais à aucun moment ne s'est profilé une situation d'urgence", explique M. Pérez.
Un précédent rapport des autorité française présentes sur place avait confirmé que les moteurs étaient bien en marche lors du crash.
Au total 152 passagers français et les 8 membres d'équipage colombiens ont péri dans l'accident de cet avion charter qui ramenait en Martinique des touristes partis passer une semaine au Panama.
L'avion avait signalé entrer dans une zone de fortes turbulences et a accumulé "tellement de glace qu'il n'est pas descendu le nez vers le bas mais vers le haut", indique M. Pérez.
El Colombiano cite, comme preuve supplémentaire, un rapport du Bureau national américain de la sécurité des transports (NTSB) qui était associé à l'enquête.
Changement d'altitude
"La formation de glace est un problème que l'équipage a tenté de résoudre en changeant d'altitude mais à aucun moment ne s'est profilé une situation d'urgence", explique M. Pérez.
Un précédent rapport des autorité française présentes sur place avait confirmé que les moteurs étaient bien en marche lors du crash.
Au total 152 passagers français et les 8 membres d'équipage colombiens ont péri dans l'accident de cet avion charter qui ramenait en Martinique des touristes partis passer une semaine au Panama.