Partir quinze jours découvrir une destination à l’autre bout du monde, vivre avec la population locale et participer à un projet solidaire concret, c’est la formule proposée par Double Sens aux comités d’entreprise.
Le TO, créé en 2006 par Antoine Richard et Aurélien Seux, propose des voyages solidaires : participatif ou alternatif aux individuels et aux groupes.
Les comités d’entreprise souhaitent, eux-aussi, voyager autrement. L’an dernier 1000 pax ont fait confiance à Double Sens pour participer à un voyage solidaire. Les CE représentent 30% de leur clientèle en 2017. « En 2018, nous espérons doubler ce chiffre », précise Antoine Richard, co-fondateur. Un objectif largement atteignable selon Antoine Richard, l'un des dirigeants de l’agence de voyage.
« Une partie des membres de CE ne se retrouvent pas dans les offres club au soleil, souligne Antoine Richard. Nous proposons une alternative qui a du sens, avec une fonction sociale et de partage. »
Le tour-opérateur s’engage pour un tourisme durable et privilégie ainsi la rencontre authentique, le respect de l’environnement, le partage des retombées économiques.
Pour exemple, Double Sens prend à sa charge 50% de l’impact carbone du voyageur dû au vol. Le TO propose à ses clients de compenser l’autre partie, soit débourser 25€ supplémentaires. Une démarche volontaire à laquelle 38% des voyageurs ont répondu.
Les séjours coûtent plus chers qu’un séjour classique. Il faut compter en moyenne 2000€ vol inclus.
Le TO, créé en 2006 par Antoine Richard et Aurélien Seux, propose des voyages solidaires : participatif ou alternatif aux individuels et aux groupes.
Les comités d’entreprise souhaitent, eux-aussi, voyager autrement. L’an dernier 1000 pax ont fait confiance à Double Sens pour participer à un voyage solidaire. Les CE représentent 30% de leur clientèle en 2017. « En 2018, nous espérons doubler ce chiffre », précise Antoine Richard, co-fondateur. Un objectif largement atteignable selon Antoine Richard, l'un des dirigeants de l’agence de voyage.
« Une partie des membres de CE ne se retrouvent pas dans les offres club au soleil, souligne Antoine Richard. Nous proposons une alternative qui a du sens, avec une fonction sociale et de partage. »
Le tour-opérateur s’engage pour un tourisme durable et privilégie ainsi la rencontre authentique, le respect de l’environnement, le partage des retombées économiques.
Pour exemple, Double Sens prend à sa charge 50% de l’impact carbone du voyageur dû au vol. Le TO propose à ses clients de compenser l’autre partie, soit débourser 25€ supplémentaires. Une démarche volontaire à laquelle 38% des voyageurs ont répondu.
Les séjours coûtent plus chers qu’un séjour classique. Il faut compter en moyenne 2000€ vol inclus.
Immersion et actions locales
Antoine Richard & Aurélien Seux, les fondateurs de Double Sens au Bénin, leur première destination. - Double Sens
Double Sens propose deux approches. La première est de partir pour un voyage participatif, où les voyageurs se passent le relais pour soutenir des actions portées par des associations locales reconnues, tout en découvrant le pays lors des excursions organisées en parallèle.
Deuxième option, profiter d'un voyage alternatif. Le groupe participe alors à la vie locale en vivant au plus près des communautés, via des circuits qui mixent l’immersion et l’itinérant, en lien direct avec la nature et la culture du pays.
« Nos voyageurs partent ainsi tous les mois autour d'une continuité cohérente qui permet au tourisme d'être un levier de développement communautaire, dans une logique de développement durable ; notamment grâce aux emplois locaux et aux projets solidaires financés sur le terrain », souligne Aurélien Seux.
Le but est également d’améliorer la vie locale. Les retombées économiques liées au séjour sont partagées avec les communautés d'accueil et permettent de financer des projets de solidarité. Un montant variable selon la destination, qui assure « entre 20 et 30% de revenu supplémentaire », selon Antoine Richard.
Deuxième option, profiter d'un voyage alternatif. Le groupe participe alors à la vie locale en vivant au plus près des communautés, via des circuits qui mixent l’immersion et l’itinérant, en lien direct avec la nature et la culture du pays.
« Nos voyageurs partent ainsi tous les mois autour d'une continuité cohérente qui permet au tourisme d'être un levier de développement communautaire, dans une logique de développement durable ; notamment grâce aux emplois locaux et aux projets solidaires financés sur le terrain », souligne Aurélien Seux.
Le but est également d’améliorer la vie locale. Les retombées économiques liées au séjour sont partagées avec les communautés d'accueil et permettent de financer des projets de solidarité. Un montant variable selon la destination, qui assure « entre 20 et 30% de revenu supplémentaire », selon Antoine Richard.
Des groupes de quinze personnes maximums
Aujourd’hui, Double Sens propose des séjours vers quinze destinations. « En onze ans, nous avons connu un développement maîtrisé, à l’échelle du tourisme durable », remarque Antoine Richard.
Dernière en date, le Népal. Où les visiteurs pourront participer à la fabrication d’enclos permettant de protéger le bétail des prédateurs et favoriser la cohabitation entre l’homme et le tigre.
Deux destinations devraient être proposées en 2018, le Maroc et la Thaïlande.
L’agence constitue des groupes de 15 personnes maximum, « au-delà, ça dénature le séjour, les échanges ». « Les visiteurs sont répartis par groupes de trois ou quatre dans les familles, ils participent à leur quotidien, leur travail, les accompagnent au temple… Ce n’est possible que s’ils sont peu nombreux. »
Dernière en date, le Népal. Où les visiteurs pourront participer à la fabrication d’enclos permettant de protéger le bétail des prédateurs et favoriser la cohabitation entre l’homme et le tigre.
Deux destinations devraient être proposées en 2018, le Maroc et la Thaïlande.
L’agence constitue des groupes de 15 personnes maximum, « au-delà, ça dénature le séjour, les échanges ». « Les visiteurs sont répartis par groupes de trois ou quatre dans les familles, ils participent à leur quotidien, leur travail, les accompagnent au temple… Ce n’est possible que s’ils sont peu nombreux. »