C’est une motion peu ordinaire qu’adressent au gouvernement la CCI de Nice et la société des aéroports Nice Côte d’Azur dont elle est un actionnaire minoritaire. C’est même une première, en l’occurrence. Parlant en leur nom, mais aussi en tant que porte-parole des grands aéroports de province, la motion exige une meilleure desserte internationale via l’ouverture des droits de trafic.
Pour la Côte d’Azur dont l’économie et le tourisme sont fortement marqués par l’activité internationale, la desserte aérienne vers l’international est primordiale.
La motion souligne : "Au moment où l’Etat réforme l’organisation territoriale française pour améliorer la compétitivité des Régions, des Métropoles et créer de l’emploi, la limitation des droits de trafic aériens intercontinentaux par des accords bilatéraux pénalise nos entreprises et nos territoires."
Il y a un an, malgré de bons résultats de trafic, Qatar Airways avait interrompu les 3 liaisons aériennes hebdomadaires entre Nice et Doha pour renforcer ses fréquences sur Paris.
Car, en l’absence de droits de trafic supplémentaires, la compagnie avait dû se résoudre à transférer ceux acquis à Nice sur Roissy.
D’autre part, et malgré un potentiel de trafic important, l’aéroport de Nice peine à obtenir une desserte vers l’Asie où des compagnies seraient intéressées.
Dans sa motion, la CCI et l’aéroport s’exprimant de fait au nom des grands aéroports de province, constatent que "cette réglementation archaïque pénalise les grandes métropoles françaises par rapport aux métropoles allemandes, italiennes, espagnoles et du Royaume-Uni ; oblige les passagers à transiter par d’autres hubs comme Paris, Londres, Francfort…, plus cher, plus long, plus fatiguant et enfin localement pénalise l’économie azuréenne, freine la création d’emplois et la croissance des entreprises vers leurs nouveaux marchés.
Nous lançons donc, en liaison avec la Société des Aéroports et nos partenaires locaux, et d’autres Métropoles comme Lyon ayant les mêmes objectifs, une mobilisation des chefs d’entreprises pour obtenir ces autorisations d’ouvertures."
Pour la Côte d’Azur dont l’économie et le tourisme sont fortement marqués par l’activité internationale, la desserte aérienne vers l’international est primordiale.
La motion souligne : "Au moment où l’Etat réforme l’organisation territoriale française pour améliorer la compétitivité des Régions, des Métropoles et créer de l’emploi, la limitation des droits de trafic aériens intercontinentaux par des accords bilatéraux pénalise nos entreprises et nos territoires."
Il y a un an, malgré de bons résultats de trafic, Qatar Airways avait interrompu les 3 liaisons aériennes hebdomadaires entre Nice et Doha pour renforcer ses fréquences sur Paris.
Car, en l’absence de droits de trafic supplémentaires, la compagnie avait dû se résoudre à transférer ceux acquis à Nice sur Roissy.
D’autre part, et malgré un potentiel de trafic important, l’aéroport de Nice peine à obtenir une desserte vers l’Asie où des compagnies seraient intéressées.
Dans sa motion, la CCI et l’aéroport s’exprimant de fait au nom des grands aéroports de province, constatent que "cette réglementation archaïque pénalise les grandes métropoles françaises par rapport aux métropoles allemandes, italiennes, espagnoles et du Royaume-Uni ; oblige les passagers à transiter par d’autres hubs comme Paris, Londres, Francfort…, plus cher, plus long, plus fatiguant et enfin localement pénalise l’économie azuréenne, freine la création d’emplois et la croissance des entreprises vers leurs nouveaux marchés.
Nous lançons donc, en liaison avec la Société des Aéroports et nos partenaires locaux, et d’autres Métropoles comme Lyon ayant les mêmes objectifs, une mobilisation des chefs d’entreprises pour obtenir ces autorisations d’ouvertures."