Enterprise rent-a-car a de l’ambition. 20ème entreprise américaine, elle en a aussi les moyens.
Leader mondial de la location de véhicules, avec un chiffre d’affaires supérieur à 16 Mds US$ et 8 100 agences, cette société familiale a été créée en 1957, emploie 78 000 personnes dans 50 pays et dispose d’une flotte de 1,4 million de véhicules.
Elle est le 1er acheteur de véhicules neufs, le 1er vendeur de voitures d’occasion et certaines de ses marques sont largement connues à travers le monde, comme Alamo, National, ou CITER notamment.
Elle est également dans la gestion de flotte et l’autopartage.
Leader mondial de la location de véhicules, avec un chiffre d’affaires supérieur à 16 Mds US$ et 8 100 agences, cette société familiale a été créée en 1957, emploie 78 000 personnes dans 50 pays et dispose d’une flotte de 1,4 million de véhicules.
Elle est le 1er acheteur de véhicules neufs, le 1er vendeur de voitures d’occasion et certaines de ses marques sont largement connues à travers le monde, comme Alamo, National, ou CITER notamment.
Elle est également dans la gestion de flotte et l’autopartage.
La France : 3ème marché mondial de la location de voitures
Bref, Enterprise est un titan de la location de voitures, qui a décidé de se faire une place sur le marché français.
D’abord, parce que la France est le 3ème marché du monde après les USA et l’Allemagne, et tout juste devant le Canada et la Grande Bretagne.
Parce qu’après s’être fortement développé en Amérique du nord, Enterprise a ensuite profité des opportunités qui se présentaient en Europe.
C’est ainsi qu’en 2006, le géant a pris pied en Grande Bretagne avec le rachat d’un major, et qu’en 2012, il est arrivé en France avec la prise de contrôle de CITER.
Ce faisant, il récupérait une implantation française de 170 agences et 600 employés, présente sur les 3 marchés, loisirs, affaires et assistance, que le géant américain a l’intention de fortement développer.
« D’ici la fin 2013, nous aurons ouvert 20 agences Enterprise/CITER, notamment à Orléans et à La Défense », annonce James Ware, le directeur général France du loueur, « et d’ici la fin 2015, nous en programmons encore 30 nouvelles. »
D’abord, parce que la France est le 3ème marché du monde après les USA et l’Allemagne, et tout juste devant le Canada et la Grande Bretagne.
Parce qu’après s’être fortement développé en Amérique du nord, Enterprise a ensuite profité des opportunités qui se présentaient en Europe.
C’est ainsi qu’en 2006, le géant a pris pied en Grande Bretagne avec le rachat d’un major, et qu’en 2012, il est arrivé en France avec la prise de contrôle de CITER.
Ce faisant, il récupérait une implantation française de 170 agences et 600 employés, présente sur les 3 marchés, loisirs, affaires et assistance, que le géant américain a l’intention de fortement développer.
« D’ici la fin 2013, nous aurons ouvert 20 agences Enterprise/CITER, notamment à Orléans et à La Défense », annonce James Ware, le directeur général France du loueur, « et d’ici la fin 2015, nous en programmons encore 30 nouvelles. »
Plus de 150 CDI recrutés et formés d’ici la fin 2014
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Bien qu’Enterprise, dont l’exercice court du mois d’août au mois de juillet, ne communique pas vraiment sur ses résultats économiques, ces chiffres donnent quand même une idée des forces qu’elle entend déployer sur le marché français.
Privilégiant le réseau d’agences corporate sur la franchise, sauf en Corse et dans les DOM (voir encadré), le loueur lance donc un vaste plan de recrutement et de formation, intitulé le « Management Trainee Programme », un apprentissage « maison » dont James Ware a profité en intégrant la société voilà bientôt 20 ans.
Persuadé que le sentiment entrepreneurial en plus fort en France qu’on ne le prétend, Enterprise espère attirer ainsi les futurs managers dont ses agences auront besoin.
Recrutées en CDI, les candidats passeront 14 mois à se former à la finance, à la gestion, au management et à la vente, alternant le terrain et la salle, avec le soutien personnalisé d’un coach.
Depuis avril dernier, 70 personnes profitent déjà du « Management Trainee ».
Une centaine d’autres devrait encore arriver dans les mois à venir, à raison de 10 à 15 par mois.
Dans les circonstances actuelles, un employeur qui embauche et forme en CDI, ça s’appelle une bonne nouvelle.
Privilégiant le réseau d’agences corporate sur la franchise, sauf en Corse et dans les DOM (voir encadré), le loueur lance donc un vaste plan de recrutement et de formation, intitulé le « Management Trainee Programme », un apprentissage « maison » dont James Ware a profité en intégrant la société voilà bientôt 20 ans.
Persuadé que le sentiment entrepreneurial en plus fort en France qu’on ne le prétend, Enterprise espère attirer ainsi les futurs managers dont ses agences auront besoin.
Recrutées en CDI, les candidats passeront 14 mois à se former à la finance, à la gestion, au management et à la vente, alternant le terrain et la salle, avec le soutien personnalisé d’un coach.
Depuis avril dernier, 70 personnes profitent déjà du « Management Trainee ».
Une centaine d’autres devrait encore arriver dans les mois à venir, à raison de 10 à 15 par mois.
Dans les circonstances actuelles, un employeur qui embauche et forme en CDI, ça s’appelle une bonne nouvelle.
Le point sur les franchisés CITER
Préférant développer un réseau d’agences corporate, Enterprise Rent-a-car ne va conserver aucun franchisé, sauf en Corse et dans les DOM.
Sur le marché métropolitain, les contrats hérités de CITER arrivent progressivement à échéance et ne seront pas renouvelés.
À ce propos, Gérard Maitre, directeur général délégué d’Enterprise, a voulu faire le point sur cette séparation graduelle et « préparée très en amont », en précisant immédiatement qu’aucun franchisé n’avait encore assigné Enterprise en justice.
Selon le DG délégué, sur les 21 franchises CITER, il n’en restera plus que 5 en 2014.
7 d’entre elles ont déjà signé un accord de sortie, 5 en discutent encore et 3 devraient signer d’ici la fin du mois.
Seuls 4 franchisés refusent toute discussion à ce jour, tandis qu’un autre se trouve en dépôt de bilan.
En revanche, l’un des franchisés CITER est assigné en justice par Enterprise pour « mauvaise exécution du contrat. »
Par ailleurs, Gérard Maitre ajoute qu’Enterprise a levé sa close de non-concurrence et qu’il a repris 23 employés, dont 4 gérants, parmi le personnel des franchisés CITER.
Sur le marché métropolitain, les contrats hérités de CITER arrivent progressivement à échéance et ne seront pas renouvelés.
À ce propos, Gérard Maitre, directeur général délégué d’Enterprise, a voulu faire le point sur cette séparation graduelle et « préparée très en amont », en précisant immédiatement qu’aucun franchisé n’avait encore assigné Enterprise en justice.
Selon le DG délégué, sur les 21 franchises CITER, il n’en restera plus que 5 en 2014.
7 d’entre elles ont déjà signé un accord de sortie, 5 en discutent encore et 3 devraient signer d’ici la fin du mois.
Seuls 4 franchisés refusent toute discussion à ce jour, tandis qu’un autre se trouve en dépôt de bilan.
En revanche, l’un des franchisés CITER est assigné en justice par Enterprise pour « mauvaise exécution du contrat. »
Par ailleurs, Gérard Maitre ajoute qu’Enterprise a levé sa close de non-concurrence et qu’il a repris 23 employés, dont 4 gérants, parmi le personnel des franchisés CITER.