Sondage après sondage, une chose est sûre, les Français ne sacrifieront pas leurs vacances d’été.
Ce fut le cas en 2011 et ce le sera encore en 2012, selon les conclusions de l’étude présentée, jeudi 15 mars 2012, par CCM Benchmark et l’Internaute Voyage, à l'occasion du Mondial du Tourisme à Paris.
De plus, sur les 4 505 personnes interviewées, il semble que pour 88 % des gens, ceux qui partiront plus de 8 jours, le séjour sera plus long d’une journée au moins.
Pour les vacances de cet été, voilà pour les bonnes nouvelles.
Ce fut le cas en 2011 et ce le sera encore en 2012, selon les conclusions de l’étude présentée, jeudi 15 mars 2012, par CCM Benchmark et l’Internaute Voyage, à l'occasion du Mondial du Tourisme à Paris.
De plus, sur les 4 505 personnes interviewées, il semble que pour 88 % des gens, ceux qui partiront plus de 8 jours, le séjour sera plus long d’une journée au moins.
Pour les vacances de cet été, voilà pour les bonnes nouvelles.
Un tiers des vacanciers envisage de réduire ses dépenses
Pour les mauvaises, cela dépendra du marché que les agences de voyages et les producteurs auront ciblé.
D’après Gilles Blanc, directeur d’études chez CCM Benchmark, un tiers de la population française devrait réduire ses dépenses.
Parmi eux, c’est l’intention nette des clients du segment entrée de gamme et des retraités qui, comme le disait récemment Pascal Girardot dans nos colonnes, voient leurs revenus baisser et leur descendance requérir de plus en plus une assistance financière.
Autre mauvaise nouvelle, surtout pour les TO, les Français ne seront pas plus nombreux que l’an passé à partir à l’étranger.
Pour autant, toutes les destinations ne seront pas traitées de la même façon.
Le pourtour méditerranéen, par exemple, devrait séduire 43 % des consommateurs au lieu de 50 l’an passé, et le Maghreb, en particulier, hors Maroc, devrait baisser de 11 à 9 %.
D’après Gilles Blanc, directeur d’études chez CCM Benchmark, un tiers de la population française devrait réduire ses dépenses.
Parmi eux, c’est l’intention nette des clients du segment entrée de gamme et des retraités qui, comme le disait récemment Pascal Girardot dans nos colonnes, voient leurs revenus baisser et leur descendance requérir de plus en plus une assistance financière.
Autre mauvaise nouvelle, surtout pour les TO, les Français ne seront pas plus nombreux que l’an passé à partir à l’étranger.
Pour autant, toutes les destinations ne seront pas traitées de la même façon.
Le pourtour méditerranéen, par exemple, devrait séduire 43 % des consommateurs au lieu de 50 l’an passé, et le Maghreb, en particulier, hors Maroc, devrait baisser de 11 à 9 %.
L’Espagne et l’Italie, au top des destinations étrangères
Comme en 2011, les long courriers tireront leur épingle du jeu, du moins les Antilles, la Réunion, et surtout les USA, qui passeront de 8 à 11%, tandis que les autres destinations, l’Asie et l’Océanie notamment, resteront relativement stables.
Toutefois de manière générale, les grandes gagnantes seront l’Espagne et l’Italie, comme en 2011.
Autrement dit, des destinations où la paix civile règne et où l’Euro dispose d’une puissance d’achat plus forte.
Toutefois de manière générale, les grandes gagnantes seront l’Espagne et l’Italie, comme en 2011.
Autrement dit, des destinations où la paix civile règne et où l’Euro dispose d’une puissance d’achat plus forte.
La mer française fera un carton
Pour ceux qui resteront en France, 80 % d’entre eux vont partir en voiture et 70 % devraient aller à la mer, avec la région PACA en vedette et la Corse, qui passe de 8 à 11 % des intentions de départ.
Les gîtes et les campings devraient faire un carton avec respectivement 34 et 22 % des clients.
Enfin, si les compagnies « low cost » gagnent du terrain sur les courts et moyen courriers, le confort, c’est à dire la nourriture, les divertissements, les sièges, etc., reste dans le top 3 des critères de choix quand il s’agit d’acheter un billet d’avion.
Pour les compagnies traditionnelles, c’est une bonne nouvelle qui confirme néanmoins la tendance des clients à partir moins loin.
Les gîtes et les campings devraient faire un carton avec respectivement 34 et 22 % des clients.
Enfin, si les compagnies « low cost » gagnent du terrain sur les courts et moyen courriers, le confort, c’est à dire la nourriture, les divertissements, les sièges, etc., reste dans le top 3 des critères de choix quand il s’agit d’acheter un billet d’avion.
Pour les compagnies traditionnelles, c’est une bonne nouvelle qui confirme néanmoins la tendance des clients à partir moins loin.