La demande en justice de 7 passagers d'un vol d’Air France Paris - Vigo contraint de rebrousser chemin, en septembre 2008, à cause d'un problème technique peu après son décollage, a entrainé la création d'une nouvelle jurisprudence au niveau européen.
En effet, la Cour européenne de Justice (CEJ), appelée à statuer sur la demande a rendu public, jeudi 13 octobre 2011, un arrêt qui considère comme "une annulation le cas où un avion a décollé, mais, pour quelque raison que ce soit, a été contraint de retourner à l'aéroport de départ où ses passagers ont été transférés sur d'autres vols".
Il concerne toutes les compagnies européennes.
Par conséquent, Air France doit rembourser aux passagers le billet d’avion ou le réacheminement vers la destination finale, mais aussi la prise en charge des frais de transfert entre l'aéroport d'arrivée et l'aéroport initialement prévu, les frais de restauration, d'hébergement et de communication.
En effet, la Cour européenne de Justice (CEJ), appelée à statuer sur la demande a rendu public, jeudi 13 octobre 2011, un arrêt qui considère comme "une annulation le cas où un avion a décollé, mais, pour quelque raison que ce soit, a été contraint de retourner à l'aéroport de départ où ses passagers ont été transférés sur d'autres vols".
Il concerne toutes les compagnies européennes.
Par conséquent, Air France doit rembourser aux passagers le billet d’avion ou le réacheminement vers la destination finale, mais aussi la prise en charge des frais de transfert entre l'aéroport d'arrivée et l'aéroport initialement prévu, les frais de restauration, d'hébergement et de communication.
Autres articles
-
Air Antilles met la pression sur Air France et Corsair !
-
Air France et KLM suspendent (temporairement) Zanzibar en 2025
-
eSIM : un service pour les clients et une source de revenu pour les agences ? [ABO]
-
Censure : les compagnies doivent rembourser la taxe de solidarité !
-
ITA Airways : un mariage qui fait les affaires... d'Air France et easyjet !
La Cour a par ailleurs estimé que les passagers avaient droit à une indemnisation complémentaire du fait d'un préjudice moral subi suite à la non exécution du contrat de transport aérien.