Touriscope, réalise un chiffre d'affaires annuel avec Israël d'environ 10 millions d'euros (cliquer pour aggrandir)
Arkia, s’intéresse de près au marché français. Après avoir pris 20% du capital de New Axis Airways, elle-même candidate à la desserte de Tel Aviv au départ de Paris CDG et Marseille (*), la 2e compagnie aérienne israélienne, est sur le point de racheter Touriscope, (www.touriscope.fr) un émetteur important du tourisme français en direction d’Israël.
Selon nos informations, le montant de la transaction serait d’1 million de dollars environ.
Une information que confirme à quelques nuances (et « centimes près ») près Isy Tordjman, patron de l’entreprise : « En effet, nous avons un protocole d’achat et le contrat final devrait être signé dans la semaine… »
Concernant les raisons de la vente, elles sont évidentes pour le dirigeant, compte tenu du contexte extrêmement concurrentiel : « L’objectif était d’assurer la pérennité d’une entreprise dont le chiffre d’affaires est réalisé à 80% avec la destination Israël et à 60% avec du charter. Il était logique de s’appuyer sur un bras puissant et cette alliance avec une compagnie charter va dans ce sens… »
Après quelques divergences de vues avec le transporteur, notamment au niveau d’un projet d’ouverture d’une représentation de son département production en France, les deux parties auraient trouvé un terrain d’entente. « Il ne servirait à rien de diviser le potentiel de clientèle actuel », rappelle Isy Tordjman.
Selon nos informations, le montant de la transaction serait d’1 million de dollars environ.
Une information que confirme à quelques nuances (et « centimes près ») près Isy Tordjman, patron de l’entreprise : « En effet, nous avons un protocole d’achat et le contrat final devrait être signé dans la semaine… »
Concernant les raisons de la vente, elles sont évidentes pour le dirigeant, compte tenu du contexte extrêmement concurrentiel : « L’objectif était d’assurer la pérennité d’une entreprise dont le chiffre d’affaires est réalisé à 80% avec la destination Israël et à 60% avec du charter. Il était logique de s’appuyer sur un bras puissant et cette alliance avec une compagnie charter va dans ce sens… »
Après quelques divergences de vues avec le transporteur, notamment au niveau d’un projet d’ouverture d’une représentation de son département production en France, les deux parties auraient trouvé un terrain d’entente. « Il ne servirait à rien de diviser le potentiel de clientèle actuel », rappelle Isy Tordjman.
Coup d’accélérateur d’Arkia sur la France
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Touriscope, grand spécialiste d’Eilat, réalise un chiffre d’affaires annuel avec Israël d’environ 10 millions d’euros pour un total de 13 Mie de CA. Le solde est réalisé avec l’Egypte et Chypre.
Le coup d’accélérateur d’Arkia sur la France pourrait s’expliquer par les velléités de libéralisation du ciel israélien qui ont de quoi inquiéter les compagnies nationales (*). Le pays qui veut développer son tourisme table sur 2 millions de visiteurs. Un chiffre impossible à atteindre sans une véritable libéralisation de l’espace aérien.
Or, selon nos confrères de IsraëlValley, (LIRE) les 3 compagnies n’hésitent pas à profiter de la pénurie du secteur au niveau de leurs tarifs face à « un public captif dévoué et souhaitant aller en Israël “à tous prix’’ ».
« En moyenne, ajoute l’auteur, un long courrier Europe-Israël de 4 heures coûtera aussi cher sinon plus qu’un vol transatlantique 2 fois plus long entre l’Europe et la côte Est des Etats-Unis. Même si tout le monde parle d’une ouverture à la concurrence du marché du transport aérien, le marché israélien est toujours fermé et jamais il n’a été aussi cher… »
(*) El Al, Archia et Israir
(*) Touriscope, Sarah Tours et ISSTA
Le coup d’accélérateur d’Arkia sur la France pourrait s’expliquer par les velléités de libéralisation du ciel israélien qui ont de quoi inquiéter les compagnies nationales (*). Le pays qui veut développer son tourisme table sur 2 millions de visiteurs. Un chiffre impossible à atteindre sans une véritable libéralisation de l’espace aérien.
Or, selon nos confrères de IsraëlValley, (LIRE) les 3 compagnies n’hésitent pas à profiter de la pénurie du secteur au niveau de leurs tarifs face à « un public captif dévoué et souhaitant aller en Israël “à tous prix’’ ».
« En moyenne, ajoute l’auteur, un long courrier Europe-Israël de 4 heures coûtera aussi cher sinon plus qu’un vol transatlantique 2 fois plus long entre l’Europe et la côte Est des Etats-Unis. Même si tout le monde parle d’une ouverture à la concurrence du marché du transport aérien, le marché israélien est toujours fermé et jamais il n’a été aussi cher… »
(*) El Al, Archia et Israir
(*) Touriscope, Sarah Tours et ISSTA