Les mandataires auraient d'ores et déjà demandé un rendez-vous à Hans Van De Velde, le directeur général de TUI France - Photo DR
Quel sera le paysage de la distribution si le Groupe Marietton parvient à mettre la main sur TUI France ?
Cette question, les mandataires TUI France se la posent avec insistance.
En effet, quid par exemple des points de ventes TUI dans les villes où sont déjà présents Selectour et Havas Voyages ?
Ces indépendants, qui portent et soutiennent la marque depuis plusieurs années s'interrogent sur la tournure que pourraient prendre les événements avec le projet du Groupe de trouver un partenaire financier.
Des échanges "transparents, constructifs et ouverts" sur de nombreux sujets ont d'ailleurs été abordés lors de la dernière convention des mandataires TUI France, qui a eu lieu du 14 au 17 novembre 2019, nous assure la direction de la filiale française qui ne fera pas davantage de commentaires.
Cette question, les mandataires TUI France se la posent avec insistance.
En effet, quid par exemple des points de ventes TUI dans les villes où sont déjà présents Selectour et Havas Voyages ?
Ces indépendants, qui portent et soutiennent la marque depuis plusieurs années s'interrogent sur la tournure que pourraient prendre les événements avec le projet du Groupe de trouver un partenaire financier.
Des échanges "transparents, constructifs et ouverts" sur de nombreux sujets ont d'ailleurs été abordés lors de la dernière convention des mandataires TUI France, qui a eu lieu du 14 au 17 novembre 2019, nous assure la direction de la filiale française qui ne fera pas davantage de commentaires.
Prise de participation minoritaire ?
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Ce que craignent les mandataires, c'est l'arrivée d'un partenaire majoritaire qui pourrait remettre en question les contrats.
Selon nos informations, pour assurer leurs arrières, lesdits mandataires réfléchissent à une prise de participation minoritaire, qui ajoutée à celle de TUI France (encore détenue par TUI Group), pourrait constituer une majorité de blocage.
Grâce à cette opération, ils souhaiteraient ainsi pouvoir préserver leurs intérêts et garder en partie la main. A l'heure actuelle, il s'agirait d'une piste de réflexion.
Les mandataires auraient d'ores et déjà demandé un rendez-vous à Hans Van De Velde, directeur général de TUI France, pour évoquer le sujet.
Mais sans vouloir préjuger du résultat de cette requête, au demeurant légitime et compréhensible, on voit mal comment elle pourrait aboutir d'un point de vue stratégique.
Le Groupe Marietton voudra probablement (et c'est tout aussi légitime) avoir les coudées franches dans une acquisition qui, quelles qu'en soient les modalités, pourrait fort bien être un tournant dans le paysage du tourisme professionnel dans l'Hexagone.
Affaire à suivre donc...
Selon nos informations, pour assurer leurs arrières, lesdits mandataires réfléchissent à une prise de participation minoritaire, qui ajoutée à celle de TUI France (encore détenue par TUI Group), pourrait constituer une majorité de blocage.
Grâce à cette opération, ils souhaiteraient ainsi pouvoir préserver leurs intérêts et garder en partie la main. A l'heure actuelle, il s'agirait d'une piste de réflexion.
Les mandataires auraient d'ores et déjà demandé un rendez-vous à Hans Van De Velde, directeur général de TUI France, pour évoquer le sujet.
Mais sans vouloir préjuger du résultat de cette requête, au demeurant légitime et compréhensible, on voit mal comment elle pourrait aboutir d'un point de vue stratégique.
Le Groupe Marietton voudra probablement (et c'est tout aussi légitime) avoir les coudées franches dans une acquisition qui, quelles qu'en soient les modalités, pourrait fort bien être un tournant dans le paysage du tourisme professionnel dans l'Hexagone.
Affaire à suivre donc...