« L’idée de départ de fastbooking était de développer un système de réservation hôtelier pour les établissements indépendants », explique Jean Louis Boss, directeur marketing chez Fastbooking. Et en 5 ans d’existence, le bilan est plutôt flatteur.
« Aujourd’hui, nous fédérons 2 800 hôtels, dont 700 en France et nous avons enregistré notre 500 000e nuitée dès le début du 3e trimestre 2005. » Pour les 2/3, ces réservations sont effectuées sur le site officiel des établissements client de FastBookings.
« Le paiement en ligne n’est pas encore rentré dans les habitudes de l’Internaute car il règne encore trop d’incertitudes sur la sécurisation des paiements. Nous nous contentons d’accélérer le processus de réservation qui intervient en temps réel. »
Partenariat avec d’autres acteurs
Installé en marque blanche sur le site Internet de l’hôtel, le moteur de réservation permet aux visiteurs des sites de réserver une ou plusieurs chambres en temps réel, sans aucun frais ni paiement en ligne. »
Le 1/3 restant est réalisé au travers du réseau FastBooking Distribution. Outre la quarantaine de portails animés et commercialisés par l’opérateur Internet, celui-ci a également développé des partenariats avec d’autres acteurs de l’e-tourisme comme l’OT de paris, GoVoyages, Mappy, Kelkoo…
Sur ses portails, FastBooking a structuré l’offre hôtelière par destination : Paris, Londres Milan, Chamonix ou encore l’Islande.
« Il y a deux accès possibles pour le client. Soit c’est un particulier et il peut réserver en direct. Soit c’est un professionnel, dans ce cas, il lui suffit de mentionner son n° IATA et il bénéficiera de la commission agence définie par chaque hôtelier. »
Du service en plus
Mais FastBooking ne veut pas se contenter d’être un simple moteur de réservation. « Nous avons voulu donner de la valeur ajoutée au site. Ainsi, le client qui a réservé a souvent un doute sur l’enregistrement de sa commande. 3 jours avant sa venue, il recevra un mail lui rappelant celle-ci. » Idem après son départ où il recevra un questionnaire de satisfaction.
« Mais ce n’est pas le seul service que nous proposons aux hôteliers. Ils peuvent être également informé des différents tarifs proposés par ses concurrents, des promotions en cours ou encore d’une mise à jour en temps réel des tarifs. »
Pour bénéficier du portail, il en coûtera à l’hôtelier 1 500 € de droits d’entrée et 300 € de frais. « A l’origine, le portail était gratuit et ouvert à tous. Mais il était difficile de l’animer car tous ne jouaient pas le jeu. Les 2 800 hôteliers que nous avons aujourd’hui en portefeuille le sont. »
FastBooking, qui emploie 33 personnes sur Paris vient d’ouvrir une filiale à New York (5) et Singapour (3 personnes). « Il y a un an, nous n’étions que 20 personnes », remarque Jean Louis Boss. Et le chiffre d’affaire a doublé dans le même temps, passant de 60 M€ à 120 m€ attendus à la fin de l’année 2005.
« Aujourd’hui, nous fédérons 2 800 hôtels, dont 700 en France et nous avons enregistré notre 500 000e nuitée dès le début du 3e trimestre 2005. » Pour les 2/3, ces réservations sont effectuées sur le site officiel des établissements client de FastBookings.
« Le paiement en ligne n’est pas encore rentré dans les habitudes de l’Internaute car il règne encore trop d’incertitudes sur la sécurisation des paiements. Nous nous contentons d’accélérer le processus de réservation qui intervient en temps réel. »
Partenariat avec d’autres acteurs
Installé en marque blanche sur le site Internet de l’hôtel, le moteur de réservation permet aux visiteurs des sites de réserver une ou plusieurs chambres en temps réel, sans aucun frais ni paiement en ligne. »
Le 1/3 restant est réalisé au travers du réseau FastBooking Distribution. Outre la quarantaine de portails animés et commercialisés par l’opérateur Internet, celui-ci a également développé des partenariats avec d’autres acteurs de l’e-tourisme comme l’OT de paris, GoVoyages, Mappy, Kelkoo…
Sur ses portails, FastBooking a structuré l’offre hôtelière par destination : Paris, Londres Milan, Chamonix ou encore l’Islande.
« Il y a deux accès possibles pour le client. Soit c’est un particulier et il peut réserver en direct. Soit c’est un professionnel, dans ce cas, il lui suffit de mentionner son n° IATA et il bénéficiera de la commission agence définie par chaque hôtelier. »
Du service en plus
Mais FastBooking ne veut pas se contenter d’être un simple moteur de réservation. « Nous avons voulu donner de la valeur ajoutée au site. Ainsi, le client qui a réservé a souvent un doute sur l’enregistrement de sa commande. 3 jours avant sa venue, il recevra un mail lui rappelant celle-ci. » Idem après son départ où il recevra un questionnaire de satisfaction.
« Mais ce n’est pas le seul service que nous proposons aux hôteliers. Ils peuvent être également informé des différents tarifs proposés par ses concurrents, des promotions en cours ou encore d’une mise à jour en temps réel des tarifs. »
Pour bénéficier du portail, il en coûtera à l’hôtelier 1 500 € de droits d’entrée et 300 € de frais. « A l’origine, le portail était gratuit et ouvert à tous. Mais il était difficile de l’animer car tous ne jouaient pas le jeu. Les 2 800 hôteliers que nous avons aujourd’hui en portefeuille le sont. »
FastBooking, qui emploie 33 personnes sur Paris vient d’ouvrir une filiale à New York (5) et Singapour (3 personnes). « Il y a un an, nous n’étions que 20 personnes », remarque Jean Louis Boss. Et le chiffre d’affaire a doublé dans le même temps, passant de 60 M€ à 120 m€ attendus à la fin de l’année 2005.