Marie-Christine Chaubet et Georges Colson auraient enfin donné leur accord pour être présents au conseil de surveillance mais pour renoncer aussi à toute tâche opérationnelle - DR
Voici une nouvelle réjouissante pour l'ensemble des professionnels.
Depuis des mois (voire des années) ils regardaient avec beaucoup de tristesse les deux actionnaires majoritaires de Fram (40% chacun) s'étriper et s'écharper au risque de mener l'entreprise, qui fut la plus florissante du tourisme, droit vers la faillite. (24 millions de pertes en 2011 et encore une vingtaine de millions estimée pour 2012).
Alain Faveau, le président du conseil de surveillance nous a confirmé l'imminence d'un déblocage de la situation qui nous a été rapportée par plusieurs sources concordantes.
Y avait-il une autre issue qu'un accord arraché à la fratrie ennemie pour obtenir des banques dont la Société Générale serait la plus impliquée - un prêt d'argent frais conséquent - certaines sources estiment que 15 millions d'euros seraient nécessaires pour renflouer immédiatement la trésorerie asséchée.
Le conseil de surveillance qui se tiendra vendredi prochain devrait donc entériner cet accord par lequel tous les actionnaires seront désormais représentés au conseil de surveillance, avec la condition sine qua non que les deux actionnaires de référence n'aient plus aucune fonction opérationnelle.
Depuis des mois (voire des années) ils regardaient avec beaucoup de tristesse les deux actionnaires majoritaires de Fram (40% chacun) s'étriper et s'écharper au risque de mener l'entreprise, qui fut la plus florissante du tourisme, droit vers la faillite. (24 millions de pertes en 2011 et encore une vingtaine de millions estimée pour 2012).
Alain Faveau, le président du conseil de surveillance nous a confirmé l'imminence d'un déblocage de la situation qui nous a été rapportée par plusieurs sources concordantes.
Y avait-il une autre issue qu'un accord arraché à la fratrie ennemie pour obtenir des banques dont la Société Générale serait la plus impliquée - un prêt d'argent frais conséquent - certaines sources estiment que 15 millions d'euros seraient nécessaires pour renflouer immédiatement la trésorerie asséchée.
Le conseil de surveillance qui se tiendra vendredi prochain devrait donc entériner cet accord par lequel tous les actionnaires seront désormais représentés au conseil de surveillance, avec la condition sine qua non que les deux actionnaires de référence n'aient plus aucune fonction opérationnelle.
Alain Faveau quittera son poste
A l'issue de ce conseil, Alain Faveau qui, lui, n'est pas actionnaire, quittera son poste.
Il s'ensuivra la décision de nommer une nouvelle équipe dirigeante. Pour l'heure, la composition de cette nouvelle équipe opérationnelle n'est pas faite.
Une partie du travail de réorganisation a déjà été entamé au cours du passage éclair à la direction générale de Olivier de Nicola avec le PSE que Georges Colson, de retour à l'opérationnel en octobre dernier, a poursuivi.
Les nouveaux dirigeants auront à piloter une saison été 2013 placée sous le signe de la prudence avec des engagements aériens réduits de 8%.
Mais ils auront surtout pour mission de remettre Fram sur le chemin de la rentabilité, redynamiser la production et la distribution et créer des process internes en ligne avec ces objectifs.
Bref, à rendre l'entreprise suffisamment attractive pour que de nouveaux investisseurs aient envie de reprendre le flambeau.
Pour Alain Faveau en tous cas, l'avenir de Fram ne peut passer que par la case cession - et le plus tôt (possible) serait le mieux...
Il s'ensuivra la décision de nommer une nouvelle équipe dirigeante. Pour l'heure, la composition de cette nouvelle équipe opérationnelle n'est pas faite.
Une partie du travail de réorganisation a déjà été entamé au cours du passage éclair à la direction générale de Olivier de Nicola avec le PSE que Georges Colson, de retour à l'opérationnel en octobre dernier, a poursuivi.
Les nouveaux dirigeants auront à piloter une saison été 2013 placée sous le signe de la prudence avec des engagements aériens réduits de 8%.
Mais ils auront surtout pour mission de remettre Fram sur le chemin de la rentabilité, redynamiser la production et la distribution et créer des process internes en ligne avec ces objectifs.
Bref, à rendre l'entreprise suffisamment attractive pour que de nouveaux investisseurs aient envie de reprendre le flambeau.
Pour Alain Faveau en tous cas, l'avenir de Fram ne peut passer que par la case cession - et le plus tôt (possible) serait le mieux...