La commission européenne a demandé à Ryanair et à Transavia de rembourser les aides publiques versées par la France, par l'intermédiaire de 3 aéroports français.
Pour la low cost irlandaise, le montant total s’élève à 9,6 millions d'euros et concerne les aéroports de Pau (2,4 M€), Nîmes (6,4M€) et Angoulême (868 000 €).
La commission européenne a également pointé du doigt Transavia la filiale d'Air France, qui a bénéficié de 400 000 € d'aides pour s'installer à Pau.
Ces montants versés aux compagnies ont été jugés incompatibles avec les règles européennes de la concurrence.
Dans un communiqué de presse, Ryanair a annoncé qu'elle ferait appel de cette décision. La low cost a précisé qu'elle a arrêté ses opérations sur Angoulême en 2009 et sur Pau en 2011.
La Commission souligne dans un communiqué : "L’analyse de la Commission a démontré que ces compagnies aériennes ont payé des montants inférieurs aux coûts supplémentaires liés à leur présence dans l’aéroport. Ces compagnies aériennes ont donc bénéficié d’un avantage économique injustifié, faussant la concurrence dans le marché unique.
La France doit maintenant récupérer ces aides incompatibles auprès des entreprises qui les ont reçues afin de rétablir des conditions de concurrence équitables. "
Pour la low cost irlandaise, le montant total s’élève à 9,6 millions d'euros et concerne les aéroports de Pau (2,4 M€), Nîmes (6,4M€) et Angoulême (868 000 €).
La commission européenne a également pointé du doigt Transavia la filiale d'Air France, qui a bénéficié de 400 000 € d'aides pour s'installer à Pau.
Ces montants versés aux compagnies ont été jugés incompatibles avec les règles européennes de la concurrence.
Dans un communiqué de presse, Ryanair a annoncé qu'elle ferait appel de cette décision. La low cost a précisé qu'elle a arrêté ses opérations sur Angoulême en 2009 et sur Pau en 2011.
La Commission souligne dans un communiqué : "L’analyse de la Commission a démontré que ces compagnies aériennes ont payé des montants inférieurs aux coûts supplémentaires liés à leur présence dans l’aéroport. Ces compagnies aériennes ont donc bénéficié d’un avantage économique injustifié, faussant la concurrence dans le marché unique.
La France doit maintenant récupérer ces aides incompatibles auprès des entreprises qui les ont reçues afin de rétablir des conditions de concurrence équitables. "
Pour rappel, ces aides avaient été dénoncées par Air France.
Transavia.com en France n’est pas concernée par cette décision mais uniquement transavia.com aux Pays-Bas, filiale de KLM.
Transavia.com en France n’est pas concernée par cette décision mais uniquement transavia.com aux Pays-Bas, filiale de KLM.