Frédéric Lorin, directeur de l'IFTM Top Resa : "Cette édition sera différente. Ce sera le salon du redémarrage, d’une forme de re-départ avec je le crois une envie profonde de se retrouver." - Photo IFTM TOP Resa Reed
TourMaG.com - Ressentez-vous l’effervescence qui monte autour du salon et comment cela se traduit-il pour vous et vos équipes ?
Frédéric Lorin : Absolument, il y a l’excitation de mon équipe heureuse de lancer cette édition mais aussi depuis quelques semaines une forte communication et mobilisation de nos exposants et de nos visiteurs sur les réseaux sociaux qui annoncent leur venue sur le salon.
TourMaG.com - La pandémie qui reflue un peu partout dans le monde et le parfum de reprise suffiront-ils à faire une édition comme les autres ?
Frédéric Lorin : Cette édition sera différente, cette crise est trop profonde pour que ce soit « Business as usual ». Ce sera le salon du redémarrage, d’une forme de re-départ avec je le crois une envie profonde de se retrouver.
Frédéric Lorin : Absolument, il y a l’excitation de mon équipe heureuse de lancer cette édition mais aussi depuis quelques semaines une forte communication et mobilisation de nos exposants et de nos visiteurs sur les réseaux sociaux qui annoncent leur venue sur le salon.
TourMaG.com - La pandémie qui reflue un peu partout dans le monde et le parfum de reprise suffiront-ils à faire une édition comme les autres ?
Frédéric Lorin : Cette édition sera différente, cette crise est trop profonde pour que ce soit « Business as usual ». Ce sera le salon du redémarrage, d’une forme de re-départ avec je le crois une envie profonde de se retrouver.
TourMaG.com - Vous avez dû revoir vos volumes d’exposition. A quoi ressemblera physiquement cette édition ?
Frédéric Lorin : Oui en effet , et c’est globalement le cas de tous les salons toutes industries confondues d’avoir une surface plus réduite que d’habitude. Le contraire eut été très surprenant car vous n’ignorez pas que certaines régions du monde connaissent encore de grandes difficultés. C’est notamment le cas de l’Asie et des Amériques qui sont traditionnellement des zones importantes du salon.
A l’inverse les destinations européennes et du bassin méditerranéen sont bel et bien présentes ainsi que les Caraïbes et la zone Destination France qui se porte bien. Il faut comprendre que le salon n’est que le miroir de ce qu’il se passe sur le marché. Par ailleurs, toute la partie du salon consacrée au Business Travel se porte bien avec plus d’exposants qu’en 2019.
TourMaG.com - La France justement est-elle le noyau dur sur lequel pourrait s’appuyer le salon à l’avenir ?
Frédéric Lorin : La France même si cette zone se porte cette année mieux que les autres années n’a pas vocation a devenir le noyau dur du salon. Ce serait très restrictif car IFTM doit toujours rester la vitrine exhaustive de l’industrie dans toutes ses composantes et ses évolutions.
Frédéric Lorin : Oui en effet , et c’est globalement le cas de tous les salons toutes industries confondues d’avoir une surface plus réduite que d’habitude. Le contraire eut été très surprenant car vous n’ignorez pas que certaines régions du monde connaissent encore de grandes difficultés. C’est notamment le cas de l’Asie et des Amériques qui sont traditionnellement des zones importantes du salon.
A l’inverse les destinations européennes et du bassin méditerranéen sont bel et bien présentes ainsi que les Caraïbes et la zone Destination France qui se porte bien. Il faut comprendre que le salon n’est que le miroir de ce qu’il se passe sur le marché. Par ailleurs, toute la partie du salon consacrée au Business Travel se porte bien avec plus d’exposants qu’en 2019.
TourMaG.com - La France justement est-elle le noyau dur sur lequel pourrait s’appuyer le salon à l’avenir ?
Frédéric Lorin : La France même si cette zone se porte cette année mieux que les autres années n’a pas vocation a devenir le noyau dur du salon. Ce serait très restrictif car IFTM doit toujours rester la vitrine exhaustive de l’industrie dans toutes ses composantes et ses évolutions.
TourMaG.com - Les visiteurs seront l’enjeu majeur de cette édition. Seront-ils au rendez-vous et où en êtes-vous des inscriptions ?
Frédéric Lorin : Les visiteurs sont toujours l’enjeu des salons quels qu'ils soient. Les inscriptions progressent favorablement. Je compte sur l’envie forte à nouveau de pouvoir se retrouver que j’ai ressenti au travers de mes nombreux échanges avec les agents de voyage.
Mais la période on le sait reste compliquée, les effectifs réduits ce qui ne facilite pas toujours les déplacements.
Frédéric Lorin : Les visiteurs sont toujours l’enjeu des salons quels qu'ils soient. Les inscriptions progressent favorablement. Je compte sur l’envie forte à nouveau de pouvoir se retrouver que j’ai ressenti au travers de mes nombreux échanges avec les agents de voyage.
Mais la période on le sait reste compliquée, les effectifs réduits ce qui ne facilite pas toujours les déplacements.