Les arrivées hôtelières ont enregistré une baisse limitée de -1,3 % dans le Grand Paris © OTCP Marc Bertrand
L'office du tourisme et des congrès de Paris a publié ses chiffres de fréquentation pour le mois de mars 2016.
Selon l’Observatoire économique du tourisme parisien, les arrivées hôtelières ont enregistré une baisse limitée de -1,3 % dans le Grand Paris, par rapport au mois précédents.
"Si la tendance à la fin du premier trimestre semble s’améliorer (-7,8 % d’arrivées en janvier puis -5,9 % en février), les attentats de Bruxelles, le 22 mars 2016, portent un nouveau coup dur au tourisme européen et mettent en doute l’idée d’une reprise durable au deuxième trimestre (rappelons par ailleurs que le week-end de pâque tombait cette année fin mars contre le mois d’avril l’année dernière)."
De fait les taux d’occupation en avril (68,1 %) et en mai (73,3 %) dans le Grand Paris ont respectivement baissé de -10,7 pts et -7,0 pts.
Enfin, selon MKG Hospitality, le début de l’Euro 2016 à Paris a été plus poussif que dans les villes de province, en raison d’un croisement de plusieurs facteurs tant climatiques (inondations) que sociaux (manifestations) ou sécuritaires.
Selon l’Observatoire économique du tourisme parisien, les arrivées hôtelières ont enregistré une baisse limitée de -1,3 % dans le Grand Paris, par rapport au mois précédents.
"Si la tendance à la fin du premier trimestre semble s’améliorer (-7,8 % d’arrivées en janvier puis -5,9 % en février), les attentats de Bruxelles, le 22 mars 2016, portent un nouveau coup dur au tourisme européen et mettent en doute l’idée d’une reprise durable au deuxième trimestre (rappelons par ailleurs que le week-end de pâque tombait cette année fin mars contre le mois d’avril l’année dernière)."
De fait les taux d’occupation en avril (68,1 %) et en mai (73,3 %) dans le Grand Paris ont respectivement baissé de -10,7 pts et -7,0 pts.
Enfin, selon MKG Hospitality, le début de l’Euro 2016 à Paris a été plus poussif que dans les villes de province, en raison d’un croisement de plusieurs facteurs tant climatiques (inondations) que sociaux (manifestations) ou sécuritaires.
Les marchés italien, japonais et russe à la peine
Les tendances sur les marchés étrangers (arrivées hôtelières en baisse de -5,2 % au mois de mars dans le Grand Paris) s’inscrivent dans la continuité du début d’année. Les marchés qui souffrent le plus sont toujours l’Italie (-25,1 %), le Japon (-48,9 %) et la Russie (-29,4 %).
Le marché américain (Etats-Unis) résiste avec +4,3 % d’arrivées au mois de mars et +0,9 % sur le premier trimestre, avec des volumes d’arrivées en hausse par rapport aux premiers trimestres des quatre années précédentes.
Notons enfin que le marché chinois enregistre un deuxième mois de baisse consécutif (-5,2 % au mois de mars dans le Grand Paris après -0,2 % en février) malgré une progression significative de leurs arrivées dans Paris intramuros (+14,5 % soit 21 400 arrivées, un record pour ce marché au mois de mars).
A noter deux signes positifs : la proportion des nuitées d’affaires dans le Grand Paris a progressé de 7 points pour atteindre 55,8 % au mois de mars, et les arrivées françaises ont enregistré en mars une croissance de +3,6 % à Paris et de +2,1 % dans le Grand Paris.
Le marché américain (Etats-Unis) résiste avec +4,3 % d’arrivées au mois de mars et +0,9 % sur le premier trimestre, avec des volumes d’arrivées en hausse par rapport aux premiers trimestres des quatre années précédentes.
Notons enfin que le marché chinois enregistre un deuxième mois de baisse consécutif (-5,2 % au mois de mars dans le Grand Paris après -0,2 % en février) malgré une progression significative de leurs arrivées dans Paris intramuros (+14,5 % soit 21 400 arrivées, un record pour ce marché au mois de mars).
A noter deux signes positifs : la proportion des nuitées d’affaires dans le Grand Paris a progressé de 7 points pour atteindre 55,8 % au mois de mars, et les arrivées françaises ont enregistré en mars une croissance de +3,6 % à Paris et de +2,1 % dans le Grand Paris.