![British Airways décolle à la tête d'un groupe qui pèse 7,2 milliards d’euros et se présente déjà sur la 3e marche du podium européen. British Airways décolle à la tête d'un groupe qui pèse 7,2 milliards d’euros et se présente déjà sur la 3e marche du podium européen.](https://www.tourmag.com/photo/art/default/2640812-3727748.jpg?v=1295913156)
British Airways décolle à la tête d'un groupe qui pèse 7,2 milliards d’euros et se présente déjà sur la 3e marche du podium européen.
La fusion financière de British Airways et Iberia s’est concrétisée hier avec l’entrée en bourse à Londres et à Madrid du nouveau groupe sous l’appellation IAG (International Consolidated Airlines Group).
Le premier jour de cotation a été d’une stabilité exemplaire avec la valeur de l’action finissant la journée à 3,35 euros avec une valorisation à 7,2 milliards d’euros pour le groupe.
Les actionnaires de l’ex-BA se partagent 56% du tour de table et ceux de l’ex-Iberia 44%.
Ni la perspective de réaliser 400 millions d’euros de réduction de coûts par an à l’horizon de cinq ans, ni les déclarations va-t'en-guerre de Willie Walsh, le patron du nouveau groupe, ni les pertes abyssales du fonds de pension de BA, ni même les menaces de grève chez British Airways n’ont donc eu d’effets sur le marché.
Pourtant, hier, Willie Walsh y a mis de l’enthousiasme en déclarant que si British Airways et Iberia étaient les deux premières compagnies du groupe IAG, elles n’en seraient pas les dernières et que d’autres compagnies viendraient les rejoindre.
Le premier jour de cotation a été d’une stabilité exemplaire avec la valeur de l’action finissant la journée à 3,35 euros avec une valorisation à 7,2 milliards d’euros pour le groupe.
Les actionnaires de l’ex-BA se partagent 56% du tour de table et ceux de l’ex-Iberia 44%.
Ni la perspective de réaliser 400 millions d’euros de réduction de coûts par an à l’horizon de cinq ans, ni les déclarations va-t'en-guerre de Willie Walsh, le patron du nouveau groupe, ni les pertes abyssales du fonds de pension de BA, ni même les menaces de grève chez British Airways n’ont donc eu d’effets sur le marché.
Pourtant, hier, Willie Walsh y a mis de l’enthousiasme en déclarant que si British Airways et Iberia étaient les deux premières compagnies du groupe IAG, elles n’en seraient pas les dernières et que d’autres compagnies viendraient les rejoindre.
Une douzaine de Cies européennes attendues
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Une redite pour l’ex-patron de British Airways qui avait déjà indiqué qu’une douzaine de compagnies européennes pouvaient rejoindre le cercle, notamment Finnair et Air Berlin déjà membres de one world , mais également Tap Air Portugal, SAS.
D’autres compagnies ont été citées dans la presse britannique récemment comme l’indienne Kingfisher avec laquelle BA a passé un accord de code share ou encore Easyjet dont les résultats financiers pourraient être meilleurs…
Du côté des syndicats, la prise de fonction de Keith Williams à la tête de la compagnie britannique en remplacement de Willie Walsh correspond aux résultats du vote organisé par le syndicat Unite des PNC sur un éventuel mouvement de grève.
C’était le quatrième vote en treize mois et la détermination des PNC à faire valoir leurs revendications reste grande. 75% des quelque 10 000 inscrits ont voté et près de 80% sont en faveur d’un nouveau blocage.
La grève pourrait avoir lieu pendant les vacances de Pâques ou autour de la date du mariage du prince William.
A condition, toutefois, qu’elle soit autorisée par décision judiciaire. Mais avant d’en arriver à cette extrémité, le syndicat Unite en appelle au nouveau patron de BA, Keith Williams, de relancer la négociation. La City a donc apprécié…
D’autres compagnies ont été citées dans la presse britannique récemment comme l’indienne Kingfisher avec laquelle BA a passé un accord de code share ou encore Easyjet dont les résultats financiers pourraient être meilleurs…
Du côté des syndicats, la prise de fonction de Keith Williams à la tête de la compagnie britannique en remplacement de Willie Walsh correspond aux résultats du vote organisé par le syndicat Unite des PNC sur un éventuel mouvement de grève.
C’était le quatrième vote en treize mois et la détermination des PNC à faire valoir leurs revendications reste grande. 75% des quelque 10 000 inscrits ont voté et près de 80% sont en faveur d’un nouveau blocage.
La grève pourrait avoir lieu pendant les vacances de Pâques ou autour de la date du mariage du prince William.
A condition, toutefois, qu’elle soit autorisée par décision judiciaire. Mais avant d’en arriver à cette extrémité, le syndicat Unite en appelle au nouveau patron de BA, Keith Williams, de relancer la négociation. La City a donc apprécié…