
Un arrêt de travail de 12h45 à 15h45, touchera la plus grosse plage de départs long-courriers de la journée, avec plus de 30 vols long-courriers programmés, sur 70 vols long-courriers quotidiens - DR : Christophe Leroux, Air France
Le Syndicat National des Pilotes de Ligne (SNPL) a confirmé, lundi 28 avril 2014, le maintien de l'appel à la grève pour tous les pilotes de ligne, du 3 au 30 mai 2014.
Ce mouvement se traduirait par des débrayages journaliers, sur des plages horaires de quelques heures.
Il "provoquera des retards importants pour beaucoup de vols", précise le syndicat dans un communiqué.
Face à ces actions, la direction d'Air France, principale compagnie impactée car premier employeur de pilotes de ligne français, annonce de nombreuses annulations.
"Les tranches horaires de grève choisies par le SNPL sont particulièrement pénalisantes pour Air France et ses clients", indique la direction d'Air France.
Un arrêt de travail de 5h45 à 7h45 désorganisera les premiers départs des vols moyen-courriers et, du fait de l'enchaînement des vols, le programme de vols de toute la journée.
Un arrêt de travail de 12h45 à 15h45, touchera la plus grosse plage de départs long-courriers de la journée, avec plus de 30 vols long-courriers programmés, sur 70 vols long-courriers quotidiens.
Ce mouvement se traduirait par des débrayages journaliers, sur des plages horaires de quelques heures.
Il "provoquera des retards importants pour beaucoup de vols", précise le syndicat dans un communiqué.
Face à ces actions, la direction d'Air France, principale compagnie impactée car premier employeur de pilotes de ligne français, annonce de nombreuses annulations.
"Les tranches horaires de grève choisies par le SNPL sont particulièrement pénalisantes pour Air France et ses clients", indique la direction d'Air France.
Un arrêt de travail de 5h45 à 7h45 désorganisera les premiers départs des vols moyen-courriers et, du fait de l'enchaînement des vols, le programme de vols de toute la journée.
Un arrêt de travail de 12h45 à 15h45, touchera la plus grosse plage de départs long-courriers de la journée, avec plus de 30 vols long-courriers programmés, sur 70 vols long-courriers quotidiens.
Une menace pour Air France
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"Cette grève désorganisera le programme des vols d'Air France et empêchera les correspondances à Paris-CDG", poursuit Air France.
La compagnie justifie ces annulations par son souhait d'"éviter de nombreux désagréments à ses clients (retards, annulations à la dernière minute, saturation des salles d'embarquement)".
A cela, le SNPL France ALPA rétorque que "d’éventuelles annulations résulteraient uniquement de décisions économiques prises par les compagnies aériennes."
Face à l'ampleur que pourrait prendre ce mouvement de grève, Frédéric Gagey, PDG d'Air France, a adressé une lettre ouverte à Yves Deshayes, président du SNPL National.
Il y pointe "une véritable menace" pour la compagnie, "à un moment crucial de son redressement".
La Fédération Nationale de l'Aviation Marchande (FNAM) condamne, quant à elle, le mouvement de grève, "qui pénalise essentiellement et une fois de plus les compagnies aériennes françaises et leurs passagers", dans un communiqué.
"Les motifs qui ont alimenté cet appel relèvent pour l’essentiel de la puissance publique, mais, pour autant, ce sont les entreprises qui vont supporter les conséquences économiques de ce mouvement."
La compagnie justifie ces annulations par son souhait d'"éviter de nombreux désagréments à ses clients (retards, annulations à la dernière minute, saturation des salles d'embarquement)".
A cela, le SNPL France ALPA rétorque que "d’éventuelles annulations résulteraient uniquement de décisions économiques prises par les compagnies aériennes."
Face à l'ampleur que pourrait prendre ce mouvement de grève, Frédéric Gagey, PDG d'Air France, a adressé une lettre ouverte à Yves Deshayes, président du SNPL National.
Il y pointe "une véritable menace" pour la compagnie, "à un moment crucial de son redressement".
La Fédération Nationale de l'Aviation Marchande (FNAM) condamne, quant à elle, le mouvement de grève, "qui pénalise essentiellement et une fois de plus les compagnies aériennes françaises et leurs passagers", dans un communiqué.
"Les motifs qui ont alimenté cet appel relèvent pour l’essentiel de la puissance publique, mais, pour autant, ce sont les entreprises qui vont supporter les conséquences économiques de ce mouvement."