Dans un communiqué diffusé ce mercredi 25 mai 2016, l'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie (Umih) explique qu'au niveau national et de ses fédérations départementales, elle "s'alarme des conséquences graves, économiques et sociales, des mouvements de blocage que connaît la France depuis plusieurs semaines."
Les problèmes d'approvisionnement et les annulations de réservations pour le week-end à venir "mettent [les] adhérents dans une situation périlleuse", poursuit le syndicat patronal.
Il précise que de nombreux adhérents "restent en sous-activité en ce début de saison" et que le mois de mai est "en deçà des attentes des professionnels en raison de la mauvaise météo."
L'Umih déplore également qu'au niveau national, l'image de la France se dégrade auprès des touristes étrangers avec les informations sur les grèves, les blocages, la pénurie de carburant et les violences dans les manifestations "reprises en boucle par les chaînes d'information en France et à l'étranger".
"Si la grève est un droit, il y a également un droit de la grève qui ne peut avoir pour seule finalité de semer le désordre", conclut l'organisation hôtelière.
Les problèmes d'approvisionnement et les annulations de réservations pour le week-end à venir "mettent [les] adhérents dans une situation périlleuse", poursuit le syndicat patronal.
Il précise que de nombreux adhérents "restent en sous-activité en ce début de saison" et que le mois de mai est "en deçà des attentes des professionnels en raison de la mauvaise météo."
L'Umih déplore également qu'au niveau national, l'image de la France se dégrade auprès des touristes étrangers avec les informations sur les grèves, les blocages, la pénurie de carburant et les violences dans les manifestations "reprises en boucle par les chaînes d'information en France et à l'étranger".
"Si la grève est un droit, il y a également un droit de la grève qui ne peut avoir pour seule finalité de semer le désordre", conclut l'organisation hôtelière.
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