Les sièges plus larges ne seraient pas simplement réservés aux plus gros mais aux passagers cherchant simplement plus de confort. Pour un supplément modeste de moins de 10 euros sur un court courrier, le gain par appareil équipés se mesurerait en millions de dollars au fil du temps./photo dr
Que celui qui n’a jamais voyagé en classe Eco à côté d’une personne de forte corpulence lève la main.
La rencontre des corps est dans ce cas-là inévitable. Bras contre bras, fesse contre fesse et plus... même sans affinités !
Les compagnies ont cherché une solution pour éviter les mécontentements des passagers de corpulence "normale" et les mécontentemens des passagers obèses, que les compagnies obligent à acheter deux sièges, le second étant parfois à tarif réduit.
Mais avec l’arrivée des frais annexes, une autre solution est envisagée, celle d’élargir le siège le plus près de l’allée et parallèlement de réduire la largeur des autres sièges d'une même rangée.
Ceci de façon à maintenir un nombre de sièges identiques. Sur un A 320, le sièges plus large gagnerait cinq centimètres tandis que les autres sièges en perdraient deux.
Les compagnies devraient, dans ce cas, faire payer logiquement un supplément pour le siège le plus large et consentir une réduction sur le prix des sièges plus étroits.
La rencontre des corps est dans ce cas-là inévitable. Bras contre bras, fesse contre fesse et plus... même sans affinités !
Les compagnies ont cherché une solution pour éviter les mécontentements des passagers de corpulence "normale" et les mécontentemens des passagers obèses, que les compagnies obligent à acheter deux sièges, le second étant parfois à tarif réduit.
Mais avec l’arrivée des frais annexes, une autre solution est envisagée, celle d’élargir le siège le plus près de l’allée et parallèlement de réduire la largeur des autres sièges d'une même rangée.
Ceci de façon à maintenir un nombre de sièges identiques. Sur un A 320, le sièges plus large gagnerait cinq centimètres tandis que les autres sièges en perdraient deux.
Les compagnies devraient, dans ce cas, faire payer logiquement un supplément pour le siège le plus large et consentir une réduction sur le prix des sièges plus étroits.
Frais additionnels pourvant aller jusqu’à une centaine d’euros par vol
Reste à savoir comment évaluer financièrement le confort supplémentaire apporté par ce siège, la différence entre le sacrifice consenti par les maigres et leurs satisfactions d’être enfin soulagés du poids de la chair envahissante…
Mais les sièges plus larges ne seraient pas simplement réservés aux plus gros mais aux passagers cherchant simplement plus de confort.
Pour un supplément modeste de moins de 10 euros sur un court courrier, le gain par appareil équipés se mesurerait en millions de dollars au fil du temps.
Et pour les appareils longs courriers, un tel équipement pourrait générer des frais additionnels pourvant aller jusqu’à une centaine d’euros par vol. De quoi compenser rapidement l’équipement…
Le projet serait donc à l’étude chez Airbus sur A 320 avec concrétisation vers la fin de l’année prochaine. Pour l’heure, une vingtaine de compagnies seraient prêtes à tenter l’expérience, les compagnies américaines en première ligne.
Mais l’Europe n’est pas non plus à l’abri d’une tentative. « On est foutu on mange trop », dit un refrain bien français…
Mais les sièges plus larges ne seraient pas simplement réservés aux plus gros mais aux passagers cherchant simplement plus de confort.
Pour un supplément modeste de moins de 10 euros sur un court courrier, le gain par appareil équipés se mesurerait en millions de dollars au fil du temps.
Et pour les appareils longs courriers, un tel équipement pourrait générer des frais additionnels pourvant aller jusqu’à une centaine d’euros par vol. De quoi compenser rapidement l’équipement…
Le projet serait donc à l’étude chez Airbus sur A 320 avec concrétisation vers la fin de l’année prochaine. Pour l’heure, une vingtaine de compagnies seraient prêtes à tenter l’expérience, les compagnies américaines en première ligne.
Mais l’Europe n’est pas non plus à l’abri d’une tentative. « On est foutu on mange trop », dit un refrain bien français…