L’an passé, déjà, le l’édition belge avait défrayé la chronique en décrivant un établissement Ostendais qui n’existait pas au moment de l’impression du guide. Ce qui avait forcé, pour la première fois de son histoire, l’éditeur à rappeler tous les exemplaires pour les passer au pilon et réimprimer en urgence une version expurgée..
Cette année-ci, l’élément le plus marquant, se situe dans la perte de l’étoile d’un restaurant bruxellois, La Villa Lorraine. Cet établissement a toujours été, dans l’imaginaire des belges et des bruxellois, le temple de la haute gastronomie et des notes salées. Dire que l’on va manger à la Villa Lorraine, est ou était donc le signe que l’on apprécie la bonne cuisine et que l’on a un portefeuille bien garni.
A titre comparatif, pour la France, ce serait un peu comme si Drouant perdait son étoile ou que la Tour d’Argent disparaissait dans l’anonymat des restaurants simplement cité dans le guide.
Pour Michelin, on mange bien dans le Benelux et en Belgique
Quelques chiffres : le guide 2006 édition Benelux compte pas moins de 6 restaurants trois étoiles (3 en Belgique, 3 aux Pays-Bas), 19 deux étoiles (10 en Belgique, 3 au Luxembourg et 6 aux Pays-Bas) et 156 une étoile (79 en Belgique, 6 au Luxembourg et 71 aux Pays-Bas). Au total, 3.340 établissements ont été sélectionnés, dont 1.905 restaurants et 1.435 hôtels
A titre comparatif, comme la Belgique compte quasiment le même nombre d’habitants que Paris et sa banlieue (une dizaine de millions), le décompte est vite fait. Avec 92 restaurants étoilés, on mange mieux dans le Plat Pays que dans la capitale française et ses environs qui compte une dizaine de tables reconnues en moins.
Et si l’on pratique une simple règle de trois, il faudrait à Paris, pas moins de 150 restaurants étoilés pour avoir la même proportion que Bruxelles qui avec un million d’habitant héberge 15 restaurants valant le voyage, méritant le détour ou étant une très bonne table .
Le Guide Michelin, le plus lu, le plus consulté
Selon l’éditeur, on a beau être vieux et classique, il n’en reste pas moins que l’on est incontournable. La consultation de ce guide est toujours en pleine croissance. Les 12 éditions européennes se vendent à plus de 800 000 exemplaires par an dans une centaine de pays.
En 2004, le Guide France s’est écoulé à plus de 400 000 exemplaires, un chiffre qui le place en tête des ventes de guides d’hébergement et de restauration dans un marché général qui pourtant est en baisse constante.
La version internet, www.viamichelin.com, rencontre également un certain succès en Europe avec plus de 30 000 consultations par jour, soit une dizaine de millions par an.
Disponible en 5 langues (français, anglais, allemand, italien et espagnol), il est accessible à partir d’une carte, d’un itinéraire, ou par recherche directe, avec ou sans filtre.
Le guide peut également être consultée sur les supports numériques qui accompagnent les voyageurs comme le téléphone mobile (portail i-mode TM), les systèmes de navigation embarquée ou bien encore le PDA.
Cette année-ci, l’élément le plus marquant, se situe dans la perte de l’étoile d’un restaurant bruxellois, La Villa Lorraine. Cet établissement a toujours été, dans l’imaginaire des belges et des bruxellois, le temple de la haute gastronomie et des notes salées. Dire que l’on va manger à la Villa Lorraine, est ou était donc le signe que l’on apprécie la bonne cuisine et que l’on a un portefeuille bien garni.
A titre comparatif, pour la France, ce serait un peu comme si Drouant perdait son étoile ou que la Tour d’Argent disparaissait dans l’anonymat des restaurants simplement cité dans le guide.
Pour Michelin, on mange bien dans le Benelux et en Belgique
Quelques chiffres : le guide 2006 édition Benelux compte pas moins de 6 restaurants trois étoiles (3 en Belgique, 3 aux Pays-Bas), 19 deux étoiles (10 en Belgique, 3 au Luxembourg et 6 aux Pays-Bas) et 156 une étoile (79 en Belgique, 6 au Luxembourg et 71 aux Pays-Bas). Au total, 3.340 établissements ont été sélectionnés, dont 1.905 restaurants et 1.435 hôtels
A titre comparatif, comme la Belgique compte quasiment le même nombre d’habitants que Paris et sa banlieue (une dizaine de millions), le décompte est vite fait. Avec 92 restaurants étoilés, on mange mieux dans le Plat Pays que dans la capitale française et ses environs qui compte une dizaine de tables reconnues en moins.
Et si l’on pratique une simple règle de trois, il faudrait à Paris, pas moins de 150 restaurants étoilés pour avoir la même proportion que Bruxelles qui avec un million d’habitant héberge 15 restaurants valant le voyage, méritant le détour ou étant une très bonne table .
Le Guide Michelin, le plus lu, le plus consulté
Selon l’éditeur, on a beau être vieux et classique, il n’en reste pas moins que l’on est incontournable. La consultation de ce guide est toujours en pleine croissance. Les 12 éditions européennes se vendent à plus de 800 000 exemplaires par an dans une centaine de pays.
En 2004, le Guide France s’est écoulé à plus de 400 000 exemplaires, un chiffre qui le place en tête des ventes de guides d’hébergement et de restauration dans un marché général qui pourtant est en baisse constante.
La version internet, www.viamichelin.com, rencontre également un certain succès en Europe avec plus de 30 000 consultations par jour, soit une dizaine de millions par an.
Disponible en 5 langues (français, anglais, allemand, italien et espagnol), il est accessible à partir d’une carte, d’un itinéraire, ou par recherche directe, avec ou sans filtre.
Le guide peut également être consultée sur les supports numériques qui accompagnent les voyageurs comme le téléphone mobile (portail i-mode TM), les systèmes de navigation embarquée ou bien encore le PDA.
![Futuroscopie - Architecture contemporaine : des icônes et moteurs touristiques [ABO]](https://www.tourmag.com/photo/art/large_16_9/84367837-60259874.jpg?v=1732033411 "Futuroscopie - Architecture contemporaine : des icônes et moteurs touristiques [ABO]")
