Tous les segments de l' hôtellerie française ont connu des performances satisfaisantes en mai, selon la dernière étude de l'observatoire Deloitte.
De nombreuses agglomérations enregistrent même des taux de croissance à deux chiffres, en particulier sur les segments 2 et 3 étoiles. Parmi les plus fortes hausses, notons celles d’Angers, Nancy, Nantes, Reims, Rennes, Rouen ou encore Toulouse.
A Paris, les taux d’occupation ont dépassé les 82% dans toutes les catégories, favorisés par un calendrier propice au tourisme d’affaires, avec l’absence de ponts pour les 1er et 8 mai (comme en 2010).
En Ile-de-France, après un premier trimestre caractérisé par des performances disparates, l’ensemble des segments hôteliers a progressé en mai. L’hôtellerie 2 et 3 étoiles est à l’honneur avec des hausses significatives de Revenu moyen par chambre disponible (RevPAR), jusqu’à +32% pour l’hôtellerie 3 étoiles des Yvelines.
De nombreuses agglomérations enregistrent même des taux de croissance à deux chiffres, en particulier sur les segments 2 et 3 étoiles. Parmi les plus fortes hausses, notons celles d’Angers, Nancy, Nantes, Reims, Rennes, Rouen ou encore Toulouse.
A Paris, les taux d’occupation ont dépassé les 82% dans toutes les catégories, favorisés par un calendrier propice au tourisme d’affaires, avec l’absence de ponts pour les 1er et 8 mai (comme en 2010).
En Ile-de-France, après un premier trimestre caractérisé par des performances disparates, l’ensemble des segments hôteliers a progressé en mai. L’hôtellerie 2 et 3 étoiles est à l’honneur avec des hausses significatives de Revenu moyen par chambre disponible (RevPAR), jusqu’à +32% pour l’hôtellerie 3 étoiles des Yvelines.
Une bonne croissance également en Province
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En Province, la croissance observée résulte de la hausse conjuguée des taux d’occupation et des prix moyens. Les augmentations de recettes hébergement ont toutefois été plus modérées qu’en Ile-de-France, gagnant en moyenne de 6% pour l’hôtellerie milieu et haut de gamme.
Sur le marché économique, l’évolution de RevPAR s’échelonne de -0,6% à +5,8% selon les régions.
Les hôteliers de la plupart des grandes agglomérations ont également le sourire. Seuls les marchés montpelliérains et dijonnais sont restés en retrait en mai sur les segments 2 à 5 étoiles.
Nice a vécu une situation similaire et se distingue des autres destinations de la Côte d’Azur par une fréquentation hôtelière en baisse. Les hôtels de Cannes et Monaco ont quant à eux réalisé de très bonnes performances de fréquentation, enregistrant un retour des clientèles étrangères.
Sur le marché économique, l’évolution de RevPAR s’échelonne de -0,6% à +5,8% selon les régions.
Les hôteliers de la plupart des grandes agglomérations ont également le sourire. Seuls les marchés montpelliérains et dijonnais sont restés en retrait en mai sur les segments 2 à 5 étoiles.
Nice a vécu une situation similaire et se distingue des autres destinations de la Côte d’Azur par une fréquentation hôtelière en baisse. Les hôtels de Cannes et Monaco ont quant à eux réalisé de très bonnes performances de fréquentation, enregistrant un retour des clientèles étrangères.