Et oui, cette année encore, malgré les crises, les dépressions, l’euro sepcticisme, la débâcle financière de la Grèce (et celles à suivre ?), le tourisme est toujours là.
Il poursuit son bonhome de chemin, semant la croissance, créant des emplois, boostant le développement et last but not least, contribuant grandement à l’amélioration des économies mondiales qui en ont bien besoin..
La manne touristique ne se dément pas, comme le souligne l’OMT.
Et si les touristes du monde entier voulaient bien se donner la main et les gouvernements (français notamment) prendre un peu plus au sérieux ce secteur, voilà qui pourrait aider à résoudre la quadrature du cercle : des emplois, du développement et de la croissance.
Raus l’austérité ! Scheizer la crise !
Il poursuit son bonhome de chemin, semant la croissance, créant des emplois, boostant le développement et last but not least, contribuant grandement à l’amélioration des économies mondiales qui en ont bien besoin..
La manne touristique ne se dément pas, comme le souligne l’OMT.
Et si les touristes du monde entier voulaient bien se donner la main et les gouvernements (français notamment) prendre un peu plus au sérieux ce secteur, voilà qui pourrait aider à résoudre la quadrature du cercle : des emplois, du développement et de la croissance.
Raus l’austérité ! Scheizer la crise !
La France en riche rentière plutôt qu’en bon père de famille
La France a toujours estimé son leadership mondial comme un acquis. Arrogante, elle s’est comportée au cours des dernières années en riche rentière plutôt qu’en bon père de famille.
Or, l’industrie touristique est une industrie (presque) comme toutes les autres. Malgré sa richesse et son potentiel, notre pays n’échappe pas aux dures lois de la concurrence et du marketing.
S'il se rengorge avec ses 77 millions de visiteurs, il y a bien longtemps que ses revenus ont été dépassés par les 2e (USA) et 4e (Espagne) du Top five mondial.
De ce point de vue il a plutôt des leçons à recevoir de ses voisins comme l’Espagne qui a su se remettre en cause et empocher promptement les retombées de la crise du Printemps arabe.
Oui, rappelons-le quitte à insister lourdement : le jour de l’intronisation d’un nouveau président de la République et à la veille de la constitution du gouvernement, notre pays a besoin de revoir (aussi) ses fondamentaux touristiques.
S’il ne le fait pas rapidement, il se fera damer le pion par des nouveaux entrants qui ont compris, eux, tout l’intérêt de mieux vendre leurs atours. “Les civilisations sont mortelles,” disait quelqu’un. On pourrait ajouter : les tourismes aussi !
Or, l’industrie touristique est une industrie (presque) comme toutes les autres. Malgré sa richesse et son potentiel, notre pays n’échappe pas aux dures lois de la concurrence et du marketing.
S'il se rengorge avec ses 77 millions de visiteurs, il y a bien longtemps que ses revenus ont été dépassés par les 2e (USA) et 4e (Espagne) du Top five mondial.
De ce point de vue il a plutôt des leçons à recevoir de ses voisins comme l’Espagne qui a su se remettre en cause et empocher promptement les retombées de la crise du Printemps arabe.
Oui, rappelons-le quitte à insister lourdement : le jour de l’intronisation d’un nouveau président de la République et à la veille de la constitution du gouvernement, notre pays a besoin de revoir (aussi) ses fondamentaux touristiques.
S’il ne le fait pas rapidement, il se fera damer le pion par des nouveaux entrants qui ont compris, eux, tout l’intérêt de mieux vendre leurs atours. “Les civilisations sont mortelles,” disait quelqu’un. On pourrait ajouter : les tourismes aussi !