Ces transactions concernaient Marriott Champs Elysées, le Ritz Carlton de Moscou et un portefeuille européen d’Accor.
Sans compter ces ventes exceptionnelles, les volumes ont augmenté de 7% par rapport à la même période l'an dernier. Les actifs individuels ont représenté 74% des transactions.
L'activité reste forte à Paris et à Londres avec 645 millions d’euros investis pour un total de 14 transactions recensées. La demande des investisseurs sur ces marchés devrait rester importante.
« Les intentions d’investissement pour des actifs de qualité dans les principales villes restent nombreuses. Cette tendance pourrait toutefois s’inverser au cours des prochains mois si la croissance des performances hôtelières continue de ralentir dans certains marchés européens » déclare Yves Marchal, Directeur Général Europe du Sud de Jones Lang LaSalle Hotels.
En février 2012, les hôteliers ont en effet enregistré une baisse du Revenu par chambre disponible (RevPAR) dans certaines villes comme Munich (-7,7%), Düsseldorf (-11,5%), Amsterdam (-9,7%), Zurich (- 10%) ou Copenhague (-2,6%).
Sans compter ces ventes exceptionnelles, les volumes ont augmenté de 7% par rapport à la même période l'an dernier. Les actifs individuels ont représenté 74% des transactions.
L'activité reste forte à Paris et à Londres avec 645 millions d’euros investis pour un total de 14 transactions recensées. La demande des investisseurs sur ces marchés devrait rester importante.
« Les intentions d’investissement pour des actifs de qualité dans les principales villes restent nombreuses. Cette tendance pourrait toutefois s’inverser au cours des prochains mois si la croissance des performances hôtelières continue de ralentir dans certains marchés européens » déclare Yves Marchal, Directeur Général Europe du Sud de Jones Lang LaSalle Hotels.
En février 2012, les hôteliers ont en effet enregistré une baisse du Revenu par chambre disponible (RevPAR) dans certaines villes comme Munich (-7,7%), Düsseldorf (-11,5%), Amsterdam (-9,7%), Zurich (- 10%) ou Copenhague (-2,6%).
Perspectives 2012 : environ 8 milliards d’euros d’investissement
Le Royaume-Uni reste le marché le plus liquide avec un total de 784 millions d’euros investis, soit 52% des volumes de transaction dans la zone EMEA. Londres a été au centre de l’activité avec 11 ventes, dont l'hôtel 4 étoiles Thistle Kingsley de 129 chambres vendu à un client privé de Citi Bank pour environ 51 millions d’euros.
En France, le volume des transactions a atteint 252 millions d’euros au premier trimestre 2012, soit 17% des volumes dans la zone EMEA.
L'activité a été marquée par trois transactions significatives à Paris, dont l'hôtel 4 étoiles Pullman Paris Rive Gauche de 617 chambres vendu par Accor à Bouygues Immobilier pour 77 millions d’euros.
En Allemagne, le volume total des transactions s'élève à environ 70 millions d’euros, soit 5% des volumes dans la zone EMEA.
« Même si le marché de l’investissement reste très actif en partie grâce aux structures d’investissement existantes à la recherche de nouveaux financements en fonds propres, le manque persistant de financement et/ou de marges élevées de la part des banques rend les transactions difficiles à conclure.
Les cessions plus importantes, impliquant des financements multiples sont particulièrement difficiles à finaliser, malgré un intérêt constant pour les actifs de qualité.
Toutefois, les restructurations bancaires se généralisent, ce qui devrait favoriser les investissements. Les perspectives pour 2012 restent sensiblement les mêmes que pour 2011, avec environ 8 milliards d’euros d’investissement attendus en EMEA » conclut Yves Marchal.
En France, le volume des transactions a atteint 252 millions d’euros au premier trimestre 2012, soit 17% des volumes dans la zone EMEA.
L'activité a été marquée par trois transactions significatives à Paris, dont l'hôtel 4 étoiles Pullman Paris Rive Gauche de 617 chambres vendu par Accor à Bouygues Immobilier pour 77 millions d’euros.
En Allemagne, le volume total des transactions s'élève à environ 70 millions d’euros, soit 5% des volumes dans la zone EMEA.
« Même si le marché de l’investissement reste très actif en partie grâce aux structures d’investissement existantes à la recherche de nouveaux financements en fonds propres, le manque persistant de financement et/ou de marges élevées de la part des banques rend les transactions difficiles à conclure.
Les cessions plus importantes, impliquant des financements multiples sont particulièrement difficiles à finaliser, malgré un intérêt constant pour les actifs de qualité.
Toutefois, les restructurations bancaires se généralisent, ce qui devrait favoriser les investissements. Les perspectives pour 2012 restent sensiblement les mêmes que pour 2011, avec environ 8 milliards d’euros d’investissement attendus en EMEA » conclut Yves Marchal.