Au cours d'un entretien en marge de l'assemblée générale de son organisation, M. Frangialli a confié que l'OMT ne peut pas se satisfaire des chiffres de l'Afrique qui ne représente que 4,4% des arrivées de touristes internationaux et 2,8% des recettes.
En plus, de ces 4,4% des arrivées et 2,8% des recettes, la moitié va à l'Afrique du Sud, d'un côté, au Maroc et à la Tunisie, de l'autre, "ce qui veut dire qu'il ne reste pour l'Afrique subsaharienne que des miettes", a-t-il constaté.
Une telle situation est inacceptable, contre tenu du potentiel touristique de l'Afrique subsaharienne, notamment en matière de tourisme de nature, d'écotourisme et de tourisme culturel, a ajouté M. Frangialli.
L'Afrique fait face à beaucoup d'obstacles qui tiennent aux infrastructures, au coût du transport aérien, aux problèmes sanitaires, à la perception d'un risque de sécurité, ce que Francesco Frangialli considère comme des "difficultés objectives".
Selon lui, le tourisme est une chaîne composée de maillons. "Si un de ces maillons ne fonctionne pas, immédiatement le tourisme s'arrête", a-t-il expliqué, estimant que l'Afrique n'a pas quelquefois les moyens d'avoir tous les maillons ensemble en place et au même moment.
Cette situation de l'Afrique justifie l'initiative dite "Développement durable du tourisme en vue de l'élimination de la pauvreté" (Ste-p), fondée sur la considération que le tourisme a la capacité de créer beaucoup d'emplois directs et indirects.
Cette initiative de lutte contre la pauvreté à travers le tourisme est l'un des thèmes forts de l'assemblée générale de l'OMT, ouverte lundi à Dakar par le président Abdoulaye Wade, et qui est la première du genre à se tenir en Afrique.
En plus, de ces 4,4% des arrivées et 2,8% des recettes, la moitié va à l'Afrique du Sud, d'un côté, au Maroc et à la Tunisie, de l'autre, "ce qui veut dire qu'il ne reste pour l'Afrique subsaharienne que des miettes", a-t-il constaté.
Une telle situation est inacceptable, contre tenu du potentiel touristique de l'Afrique subsaharienne, notamment en matière de tourisme de nature, d'écotourisme et de tourisme culturel, a ajouté M. Frangialli.
L'Afrique fait face à beaucoup d'obstacles qui tiennent aux infrastructures, au coût du transport aérien, aux problèmes sanitaires, à la perception d'un risque de sécurité, ce que Francesco Frangialli considère comme des "difficultés objectives".
Selon lui, le tourisme est une chaîne composée de maillons. "Si un de ces maillons ne fonctionne pas, immédiatement le tourisme s'arrête", a-t-il expliqué, estimant que l'Afrique n'a pas quelquefois les moyens d'avoir tous les maillons ensemble en place et au même moment.
Cette situation de l'Afrique justifie l'initiative dite "Développement durable du tourisme en vue de l'élimination de la pauvreté" (Ste-p), fondée sur la considération que le tourisme a la capacité de créer beaucoup d'emplois directs et indirects.
Cette initiative de lutte contre la pauvreté à travers le tourisme est l'un des thèmes forts de l'assemblée générale de l'OMT, ouverte lundi à Dakar par le président Abdoulaye Wade, et qui est la première du genre à se tenir en Afrique.