Selon la presse algérienne, la dernière déclaration du ministre du tourisme sur la politique de développement du secteur ne laissent pas la place au doute : l’Algérie veut sa part du gâteau du tourisme méditerranéen.
Bien entendu, on ne fait pas venir les visiteurs d’un coup de baguette magique. Selon le ministre les capacités nationales d’accueil ont connu un accroissement de l’ordre de 21 000 lits durant les cinq dernières années, en même temps que les investissements en cours totalisent une capacité de 50 000 nouveaux lits.
Concernant la fréquentation étrangère, « le flux touristique provenant de l’extérieur est passé de 800 000 personnes en 2000 à 1 500 000 en 2004, avec une évolution des recettes passant de 95 millions de dollars en 2000 à 173 millions de dollars en 2004. »
Pour l’horizon 2015, les objectifs à atteindre sont de 4 millions de touristes en provenance de l’étranger. Cette hausse aurait pour conséquence l’accroissement de la capacité hôtelière de plus de 200 000 lits entraînant la création de 100 000 emplois directs et des rentrées de près de 1 milliard de dollars en devises.
La stratégie s’appuie sur un tourisme multi thématique : balnéaire, thermal, saharien, culturel et d’affaires. Enfin, aucun développement n’étant possible sans volonté politique forte (le Maroc nous en donne chaque jour la preuve) l’investissement de l’Etat serait renforcé et la promotion de la destination « devra s’intégrer dans le système national de soutien et d’incitation à l’investissement. »
Bien entendu, on ne fait pas venir les visiteurs d’un coup de baguette magique. Selon le ministre les capacités nationales d’accueil ont connu un accroissement de l’ordre de 21 000 lits durant les cinq dernières années, en même temps que les investissements en cours totalisent une capacité de 50 000 nouveaux lits.
Concernant la fréquentation étrangère, « le flux touristique provenant de l’extérieur est passé de 800 000 personnes en 2000 à 1 500 000 en 2004, avec une évolution des recettes passant de 95 millions de dollars en 2000 à 173 millions de dollars en 2004. »
Pour l’horizon 2015, les objectifs à atteindre sont de 4 millions de touristes en provenance de l’étranger. Cette hausse aurait pour conséquence l’accroissement de la capacité hôtelière de plus de 200 000 lits entraînant la création de 100 000 emplois directs et des rentrées de près de 1 milliard de dollars en devises.
La stratégie s’appuie sur un tourisme multi thématique : balnéaire, thermal, saharien, culturel et d’affaires. Enfin, aucun développement n’étant possible sans volonté politique forte (le Maroc nous en donne chaque jour la preuve) l’investissement de l’Etat serait renforcé et la promotion de la destination « devra s’intégrer dans le système national de soutien et d’incitation à l’investissement. »