''L'Eternelle galère de Nouvelles Frontières'' : Capital remet une couche au voyagiste

Dans l'article on évoque des évènements connus : "les trois quarts du directoire mis sur la touche, leurs ordinateurs, téléphones portables et dossiers saisis ? Et que dire de l’attaque de «hacking» qui a paralysé le système informatique pendant deux jours les 18 et 19 mai derniers ? «Certains auraient voulu détruire des dossiers compromettants», risque un cadre...

Bien entendu, l'accent est mis sur la dégringolade de l'entreprise avec des forfaits passés de 900 000 à 420 000 l’an passé, les pertes qui ont atteint 30 millions d’euros au premier semestre 2011 et l'arrivée "d'une escouade de vingt auditeurs qui sont venus "éplucher les comptes. Ils sont convaincus que l’ancienne équipe a voulu dissimuler la situation réelle de l’entreprise."

Le diagnostic ? Des prix trop chers, une production qui manque d'originalité, des coûts bien supérieurs à ceux de ses concurrents, des choix stratégiques contestables, les goûts de luxe de la direction et un modèle intégré avec une compagnie aérienne(Corsairfly) qui "a souffert à la fois du développement des low-cost sur le pourtour méditerranéen et de l’arrivée d’Air Caraïbes sur les Antilles."

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