Sur son site web, l’UFC-Que Choisir déclare avoir attaqué en justice LastMinute.com, "face aux procédés pernicieux" utilisés par la plateforme "pour vendre sur son site des assurances voyages à l’insu de ses clients" (voir vidéo ci-dessus).
L'association explique : "Depuis quelques mois, alors que les consommateurs ne choisissent pas initialement d’assurance, le voyagiste fait apparaître, après la validation du moyen de paiement, une fenêtre pop-up qui détourne l’attention des consommateurs et leur fait souscrire l’assurance la plus chère sans s’en rendre compte.
Alors que le site lastminute.com est configuré pour pousser le consommateur à acheter et finaliser le plus vite possible son achat, cette fenêtre pop-up reprend les mêmes codes graphiques qu’un pop-up qui demanderait au consommateur de confirmer son paiement pour profiter des réflexes inconscients des internautes et ainsi leur vendre l’assurance qu’ils ont pourtant refusée quelques clics plus tôt.
L’UFC-Que Choisir dénonce ce piège marketing, simple mais terriblement efficace.
Par ce procédé, LastMinute viole la législation de la vente sur internet qui avec le principe du « double-clic » impose que l’internaute puisse vérifier une dernière fois sa commande et son prix avant de procéder à l’achat".
L’association a saisi le Tribunal Judiciaire de Paris. Dans l’attente du jugement, l’association appelle les consommateurs "à la plus grande prudence et vigilance s’ils devaient utiliser ce site".
Pour l'heure, LastMinute.com n'a pas souhaité commenter les faits.
L'association explique : "Depuis quelques mois, alors que les consommateurs ne choisissent pas initialement d’assurance, le voyagiste fait apparaître, après la validation du moyen de paiement, une fenêtre pop-up qui détourne l’attention des consommateurs et leur fait souscrire l’assurance la plus chère sans s’en rendre compte.
Alors que le site lastminute.com est configuré pour pousser le consommateur à acheter et finaliser le plus vite possible son achat, cette fenêtre pop-up reprend les mêmes codes graphiques qu’un pop-up qui demanderait au consommateur de confirmer son paiement pour profiter des réflexes inconscients des internautes et ainsi leur vendre l’assurance qu’ils ont pourtant refusée quelques clics plus tôt.
L’UFC-Que Choisir dénonce ce piège marketing, simple mais terriblement efficace.
Par ce procédé, LastMinute viole la législation de la vente sur internet qui avec le principe du « double-clic » impose que l’internaute puisse vérifier une dernière fois sa commande et son prix avant de procéder à l’achat".
L’association a saisi le Tribunal Judiciaire de Paris. Dans l’attente du jugement, l’association appelle les consommateurs "à la plus grande prudence et vigilance s’ils devaient utiliser ce site".
Pour l'heure, LastMinute.com n'a pas souhaité commenter les faits.