Les Suisses, eux, ont tout compris. Plutôt que de s'acharner, ils ont positivé et donné leur chance aux salariés du Groupe en France. Chiche ! En véritables entrepreneurs, ceux-ci ont relevé le pari en reprenant la marque. /fotolia
De Plan Transform en Plan Social, en passant par un Plan Convergence, histoire de rire, le Groupe TUI en France semble tourner… en rond ! Un coup j'te vois, un coup j'te vois pas. Et tout ça pour quoi ?
Franchement, pour s'apercevoir, au bout d'une bonne dizaine d'année, que la marque TUI, en France, ça ne fonctionne pas.
Rien à faire. La pensée unique, anglo-germanique, c'est pas bon au pays des Gaulois.
Ils auront pourtant mis toute leur énergie et leurs millions, les germano-britishs, pour étendre une suprématie mondiale partout où ils passent. Même Attila n'aurait pas fait mieux… et pourtant, quel gâchis !
Vous me direz, les gens de Thomas Cook n'ont pas fait mieux… Pour le même résultat, sauf que, chez eux, on garde Thomas Cook… en espérant donner un nouveau brillant à Jet Tours…
TUI, lui, tente une disparition au profit de Nouvelles Frontières et se jette à corps perdu dans les bras des distributeurs.
Lesquels se marrent ouvertement... On ne peut pas leur en vouloir, le monstre anglo-germain s'est enfermé tout seul dans ses propres erreurs.
Et au prix de combien de centaines de millions, dilapidés, jetés, sans parler des dégâts sociaux qu'une politique imbécile aura causée… Pertes et profits, diront les analystes financiers sans états d'âme !
Reste à savoir si la marque Nouvelles Frontière, salement touchée depuis quelques années, pourra encore retrouver une nouvelle jeunesse…
Franchement, pour s'apercevoir, au bout d'une bonne dizaine d'année, que la marque TUI, en France, ça ne fonctionne pas.
Rien à faire. La pensée unique, anglo-germanique, c'est pas bon au pays des Gaulois.
Ils auront pourtant mis toute leur énergie et leurs millions, les germano-britishs, pour étendre une suprématie mondiale partout où ils passent. Même Attila n'aurait pas fait mieux… et pourtant, quel gâchis !
Vous me direz, les gens de Thomas Cook n'ont pas fait mieux… Pour le même résultat, sauf que, chez eux, on garde Thomas Cook… en espérant donner un nouveau brillant à Jet Tours…
TUI, lui, tente une disparition au profit de Nouvelles Frontières et se jette à corps perdu dans les bras des distributeurs.
Lesquels se marrent ouvertement... On ne peut pas leur en vouloir, le monstre anglo-germain s'est enfermé tout seul dans ses propres erreurs.
Et au prix de combien de centaines de millions, dilapidés, jetés, sans parler des dégâts sociaux qu'une politique imbécile aura causée… Pertes et profits, diront les analystes financiers sans états d'âme !
Reste à savoir si la marque Nouvelles Frontière, salement touchée depuis quelques années, pourra encore retrouver une nouvelle jeunesse…
En même temps, une autre marque symbolique semble renaître.
Justement parce que ses actionnaires n'ont pas voulu imposer la pensée unique... et éviter aussi du même coup, des coupes sombres dans les effectifs.
Vous l'aurez compris, il s'agit de Kuoni.
Les Suisses, eux, ont tout compris. Plutôt que de s'acharner, ils ont positivé et donné leur chance aux salariés du Groupe en France.
Chiche ! En véritables entrepreneurs, ceux-ci ont relevé le pari en reprenant la marque en France.
Sans doute parce que Emmanuel Foiry, Président de Kuoni France, s'est inspiré de Marx (?), lequel pensait que l'entreprise devait appartenir à ses ouvriers… Je caricature, bien sûr, n'empêche que parfois, ça peut fonctionner.
Pour Kuoni France, j'avoue que j'ai été bluffé lors de la présentation, la semaine dernière, par la Production Emotion du TO.
Rien à dire, rien à jeter: de beaux produits, une équipe au sang neuf, des idées, des prix sans concession… Le tout dans l'esprit de la marque centenaire, adapté cependant aux tendances du marché actuel.
Et chez Kuoni, chacun prend le risque… de gagner. Les "repreneurs" en mettant non seulement toutes leurs forces, mais aussi leur pognon dans cette nouvelle aventure.
Les "ex" proprios Suisses eux aussi, prennent le risque (moindre) que les petits français se cassent la figure et détériorent cette marque à la réputation sacrément bien établie…
Un risque gagnant-gagnant ou perdant-perdant, c'est sûr. Mais, dans cette profession qui semble désespérée, ça fait quand même plaisir de trouver des gens décidés à se sortir de ce bourbier...
Et j'aime bien les vrais entrepreneurs !
Justement parce que ses actionnaires n'ont pas voulu imposer la pensée unique... et éviter aussi du même coup, des coupes sombres dans les effectifs.
Vous l'aurez compris, il s'agit de Kuoni.
Les Suisses, eux, ont tout compris. Plutôt que de s'acharner, ils ont positivé et donné leur chance aux salariés du Groupe en France.
Chiche ! En véritables entrepreneurs, ceux-ci ont relevé le pari en reprenant la marque en France.
Sans doute parce que Emmanuel Foiry, Président de Kuoni France, s'est inspiré de Marx (?), lequel pensait que l'entreprise devait appartenir à ses ouvriers… Je caricature, bien sûr, n'empêche que parfois, ça peut fonctionner.
Pour Kuoni France, j'avoue que j'ai été bluffé lors de la présentation, la semaine dernière, par la Production Emotion du TO.
Rien à dire, rien à jeter: de beaux produits, une équipe au sang neuf, des idées, des prix sans concession… Le tout dans l'esprit de la marque centenaire, adapté cependant aux tendances du marché actuel.
Et chez Kuoni, chacun prend le risque… de gagner. Les "repreneurs" en mettant non seulement toutes leurs forces, mais aussi leur pognon dans cette nouvelle aventure.
Les "ex" proprios Suisses eux aussi, prennent le risque (moindre) que les petits français se cassent la figure et détériorent cette marque à la réputation sacrément bien établie…
Un risque gagnant-gagnant ou perdant-perdant, c'est sûr. Mais, dans cette profession qui semble désespérée, ça fait quand même plaisir de trouver des gens décidés à se sortir de ce bourbier...
Et j'aime bien les vrais entrepreneurs !
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