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La Case de l'Oncle Dom : les salariés de FRAM réunis en collectif face aux syndicats…

L'édito de Dominique Gobert


Fram et ses syndicats. Une belle blague qui m’avait valu une décharge de seaux de m... à l’époque. Et pourtant, cette entreprise qui ne demande qu’à vivre, relève la tête, avec des salariés qui veulent aussi perdurer. Bel exemple que je vais vous conter ici.


le Mercredi 1 Février 2017

Parce que, malgré les imprécations et autres balivernes balancées par les syndicalistes de FRAM, des grèves suivies par à peine une cinquantaine de personnes (syndiqués compris), nous avons affaire à des gens qui se foutent éperdument des salariés qu’ils sont censés défendre et ne pensent qu’à leur propre intérêt.

Et chez Fram, peut-être est-ce une culture de l’entreprise, mais on préfère parler.

A tel point, que devant la stupidité de leurs représentants, ils ont créé un collectif de salariés, lequel représente actuellement plus de 100 personnes, toutes motivées.

Pas mal, alors que les syndicats de l’entreprise ne comptent qu’une cinquantaine de membres… et encore !

Aujourd’hui, mercredi 1er février 2017, se tient un comité d’entreprise extraordinaire.

Ce collectif, qui ne reçoit de la part des syndicalistes appointés de cette même entreprise que mépris et insultes, parfois même plus que ça… entend bien aussi faire valoir son droit.

Car, ces salariés, mesdames et messieurs, ne veulent pas que l’on détruise leurs rêves, leurs projets, leurs ambitions.

Que veulent-ils ? Juste stopper les pseudos positions « gros bras » de ses pseudos syndicats qui n’ont rien compris à la culture de la boite.

Pas plus qu’ils ont compris que leur sort tenait à un fil et que les voyagistes concurrents n’attendaient que la chute de l’entreprise.

Ce collectif, contraint et forcé de se constituer face à la mauvaise volonté de ses représentants syndicaux, veut juste que l’on parle entre gens de bonne compagnie.

Parce que, bien sûr, les nouvelles normes sociales de Fram vont les conduire à une perte de salaire.

Ils veulent simplement en discuter avec leur direction. Et Isabelle Cordier, déléguée directrice générale, est bien décidée à non seulement les écouter, mais aussi à aboutir à un accord… et quelques aménagements.

Le seul problème étant que les syndicats ne veulent pas entendre ni les salariés, ni entamer des négociations avec leur direction. Et que, malheureusement, socialement, ils sont légalement les représentants des salariés.

Faut maintenant arrêter les conneries.

Les salariés sont prêts à avancer, dans le respect de leurs droits, mais aussi conscients de leurs devoirs... et de leur avenir.

Ils savent, eux, sans contraintes syndicalistes venues d'un autre temps !

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Tags : fram
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Commentaires

1.Posté par FRAM le 01/02/2017 10:27 | Alerter
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C'est n importe quoi, j'ai honte pour vous, vous n'êtes pas un journaliste mais un simple rapporteur

Vous ne vérifiez rien de vos sources tout est faux dans votre article puant, Venez faire un tour chez Fram vous faire votre propre opinion.

Menteur

2.Posté par FRAM aussi le 01/02/2017 11:19 | Alerter
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FRAM aussi, et pour moi cet article reflète assez bien la réalité : des syndicats qui n'écoutent pas les salariés qu'ils sont censés défendre, et ne défendent que leurs propres intérêts !
Plus de 100 salariés attendent des réponses à des questions posés aux représentants depuis Décembre et cela reste sans réponse !
C'est vous qui devriez avoir honte ...
Merci aux membres du collectif de vouloir apaiser les tensions, renouer le dialogue pour sauver nos emplois et notre boîte. Et merci à la direction d'accepter la discussion et de tenter de trouver un accord.

3.Posté par FRAM aussi!! le 01/02/2017 11:29 | Alerter
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Comment peut on donner foi à un collectif créé sur un Doodle bien protégé. Si les personnes étaient si fières d'en faire partie pourquoi cacher leur identité.
J'aimerai bien avoir ses noms, je doute qu'il y ait réellement 100 personnes du personnel FRAM.
Je pense parler à beaucoup de personnes et jamais entendu quelqu'un cautionné ce collectif!
Cependant ceux qui sont montrés comme la "gangrène" de l'entreprise, nous les avons élus, cela ne veut il pas dire quelque chose?
Moi je n'ai qu'une chose à dire, à la promesse de promotion on chante "je retourne ma veste toujours du bon côté".

4.Posté par FRAM ENCORE MAIS PAS TOUJOURS le 01/02/2017 12:10 | Alerter
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Tout cela est bien manichéen... Un peu trop peut-être ???
Ne peut-on pas souhaiter voir un dialogue social et réaliste s'installer durablement dans cette entreprise sans devoir porter l'étiquette Collectif ou CE ?
Un peu de modération et de respect de l'opinion de chacun seraient les bienvenus.

Et pour répondre à FRAM aussi !! qui veut des noms mais ne donne pas le sien.
Je signe !!!
Maïté (en toute amitié)

5.Posté par Fram encore plus le 01/02/2017 12:27 | Alerter
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Merci Maïté
Nous souhaitons tous qu'un dialogue social et réaliste s'installe durablement.

Le respect semble être une valeur qui se perd malheureusement.

Je signe aussi sans me cacher
Thierry Lazzarotto

6.Posté par Une vieille de la vieille le 01/02/2017 13:20 | Alerter
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Eh bien ! Je vois qu'une folle ambiance règne toujours au sein du "petit personnel" (aucun mépris de ma part), malgré les divers régimes qui se sont succédés. Quel gâchis... quelle tristesse... aucune leçon tirée de l'expérience...

Disputez vous, battez vous, houspillez vous, dézinguez vous les uns les autres, continuez comme ça.

A la fin, c'est toujours la direction qui gagne, quelle que soit la couleur de ses oripeaux !

7.Posté par agv le 02/02/2017 17:54 | Alerter
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Vous tombez pile dans la gueule du loup !! ne vous laissez pas diviser c est ce que cherche la direction.
restez uni ! seule on va vite ensemble on va plus loin

8.Posté par Papadopoulos le 06/02/2017 10:13 | Alerter
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A la fin, il faut se poser les vraies questions:
Pourquoi les syndicats et leurs représentants sont contestés ? Est-ce qu'ils représentent réellement les salariés ? Est-ce qu'ils dialoguent vraiment avec eux ? Est-ce qu'ils expliquent assez leurs actes ? Est-ce qu'ils interrogent les salariés ? Est-ce qu'ils entendent leurs remarques ? Est-ce qu'ils intègrent ces suggestions dans leurs actions ? Si non, expliquer aux salariés pourquoi ?

Et finalement... pourquoi se borner à une discussion bipolaire (syndicats - Direction) et ne pas faire l'impasse sur les règles et arriver à se parler ? Si c'est pour le bien collectif, parfois il vaut mieux oublier les règles.

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