Parce que, malgré les imprécations et autres balivernes balancées par les syndicalistes de FRAM, des grèves suivies par à peine une cinquantaine de personnes (syndiqués compris), nous avons affaire à des gens qui se foutent éperdument des salariés qu’ils sont censés défendre et ne pensent qu’à leur propre intérêt.
Et chez Fram, peut-être est-ce une culture de l’entreprise, mais on préfère parler.
A tel point, que devant la stupidité de leurs représentants, ils ont créé un collectif de salariés, lequel représente actuellement plus de 100 personnes, toutes motivées.
Pas mal, alors que les syndicats de l’entreprise ne comptent qu’une cinquantaine de membres… et encore !
Aujourd’hui, mercredi 1er février 2017, se tient un comité d’entreprise extraordinaire.
Et chez Fram, peut-être est-ce une culture de l’entreprise, mais on préfère parler.
A tel point, que devant la stupidité de leurs représentants, ils ont créé un collectif de salariés, lequel représente actuellement plus de 100 personnes, toutes motivées.
Pas mal, alors que les syndicats de l’entreprise ne comptent qu’une cinquantaine de membres… et encore !
Aujourd’hui, mercredi 1er février 2017, se tient un comité d’entreprise extraordinaire.
Ce collectif, qui ne reçoit de la part des syndicalistes appointés de cette même entreprise que mépris et insultes, parfois même plus que ça… entend bien aussi faire valoir son droit.
Car, ces salariés, mesdames et messieurs, ne veulent pas que l’on détruise leurs rêves, leurs projets, leurs ambitions.
Que veulent-ils ? Juste stopper les pseudos positions « gros bras » de ses pseudos syndicats qui n’ont rien compris à la culture de la boite.
Pas plus qu’ils ont compris que leur sort tenait à un fil et que les voyagistes concurrents n’attendaient que la chute de l’entreprise.
Ce collectif, contraint et forcé de se constituer face à la mauvaise volonté de ses représentants syndicaux, veut juste que l’on parle entre gens de bonne compagnie.
Car, ces salariés, mesdames et messieurs, ne veulent pas que l’on détruise leurs rêves, leurs projets, leurs ambitions.
Que veulent-ils ? Juste stopper les pseudos positions « gros bras » de ses pseudos syndicats qui n’ont rien compris à la culture de la boite.
Pas plus qu’ils ont compris que leur sort tenait à un fil et que les voyagistes concurrents n’attendaient que la chute de l’entreprise.
Ce collectif, contraint et forcé de se constituer face à la mauvaise volonté de ses représentants syndicaux, veut juste que l’on parle entre gens de bonne compagnie.
Parce que, bien sûr, les nouvelles normes sociales de Fram vont les conduire à une perte de salaire.
Ils veulent simplement en discuter avec leur direction. Et Isabelle Cordier, déléguée directrice générale, est bien décidée à non seulement les écouter, mais aussi à aboutir à un accord… et quelques aménagements.
Le seul problème étant que les syndicats ne veulent pas entendre ni les salariés, ni entamer des négociations avec leur direction. Et que, malheureusement, socialement, ils sont légalement les représentants des salariés.
Faut maintenant arrêter les conneries.
Les salariés sont prêts à avancer, dans le respect de leurs droits, mais aussi conscients de leurs devoirs... et de leur avenir.
Ils savent, eux, sans contraintes syndicalistes venues d'un autre temps !
Ils veulent simplement en discuter avec leur direction. Et Isabelle Cordier, déléguée directrice générale, est bien décidée à non seulement les écouter, mais aussi à aboutir à un accord… et quelques aménagements.
Le seul problème étant que les syndicats ne veulent pas entendre ni les salariés, ni entamer des négociations avec leur direction. Et que, malheureusement, socialement, ils sont légalement les représentants des salariés.
Faut maintenant arrêter les conneries.
Les salariés sont prêts à avancer, dans le respect de leurs droits, mais aussi conscients de leurs devoirs... et de leur avenir.
Ils savent, eux, sans contraintes syndicalistes venues d'un autre temps !