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A l’instar des deux unités géantes (300 m, 3000 passagers) de Disney Cruise, compagnie qui choisit le port de la capitale catalane comme tête de ligne de ses circuits en Méditerranée. Barcelone voit son trafic de tête de croisière progresser de 50 % par an. Plus globalement la croisière dans le monde (Caraïbes, pacifique, Méditerranée, et pays scandinaves) connaît un rythme de croissance de 6 % par an (11,2 millions de croisiéristes dans le monde, dont 8,6 Américains et 2,6 Européens).
Du fait des concentrations, on compte que trois grands opérateurs avec Carnival Cruise (77 navires, 40 % du marché), Royal Caribbean (30 navires!) et Star Cruises et un challenger l’Européen MSC (6). Ce dernier a commandé deux unités de 333 m aux Chantiers de l’Atlantique intégrés à Aker Yards. Il entend rattraper rapidement les ténors avec la commande de 2 à 3 unités par an. Au total une trentaine de navires de croisière, toujours plus grands, seront livrés à l’horizon 2009 pour une commande de 14 milliards de dollars !
La croisière en Méditerranée a de l’avenir
La croisière en Méditerranée a de l’avenir. Une trentaine de ports sur son littoral ont des projets d’adaptation de leurs infrastructures. Ce n’est pas le cas sur la Côte d’Azur où les ports de Nice et de Cannes ne peuvent accueillir des unités au-delà de 240 m. Malgré ce handicap, en 2006 les deux villes accueilleront un peu plus de 610 escales (+ 9 % par rapport à 2005) principalement en rade.
Le nombre de tête de ligne (161 en 2006 mais de petites unités pour 50.000 passagers) décroît régulièrement depuis des années. Or c’est le marché le plus lucratif. Une étude souligne qu’un passager en tête de ligne dépense en moyenne 302 euros par jour soit trois fois plus qu’un croisiériste en escale.
"Il faudra adapter nos ports"
« Il faudra adapter nos ports. A Cannes cela passe par la construction d’une gare maritime et à Nice, après le choix du futur propriétaire (région ou département), on pourra envisager l’aménagement d’un quai pour grande unité et une gare maritime pour le trafic croisière. » L’activité croisière est enfin un élément indissociable de l’attractivité touristique de la Côte d’Azur sachant qu’un croisiériste sur deux qui découvre la région de cette façon entend bien y revenir en séjour plus classique.
Les compagnies les plus fidèles en 2006 sur la Côte d’Azur : le Groupe RCI avec 67 escales (157.548 passagers), Pullmantur (62 escales) Elysian Cruise (34 escales), Island Cruise(34), Cunard Seabourn (13 escales), Club Med Croisière (19) Esycruise(23).. A Noter à Cannes le Queen Mary 2 qui effectuera trois escales et le Queen Elizabeth 2 pour 3 escales également
Le port ligure de Savone est en train de prendre le pas sur Gênes pour les départs de croisière en tête de lignes grâce à l’adaptation de ses infrastructures. Près de 60 % des passagers préacheminés par avion qui embarquent à Savone transitent par l’aéroport Nice Côte d’Azur plus proche de Savone que celui de Malpensa.
Du fait des concentrations, on compte que trois grands opérateurs avec Carnival Cruise (77 navires, 40 % du marché), Royal Caribbean (30 navires!) et Star Cruises et un challenger l’Européen MSC (6). Ce dernier a commandé deux unités de 333 m aux Chantiers de l’Atlantique intégrés à Aker Yards. Il entend rattraper rapidement les ténors avec la commande de 2 à 3 unités par an. Au total une trentaine de navires de croisière, toujours plus grands, seront livrés à l’horizon 2009 pour une commande de 14 milliards de dollars !
La croisière en Méditerranée a de l’avenir
La croisière en Méditerranée a de l’avenir. Une trentaine de ports sur son littoral ont des projets d’adaptation de leurs infrastructures. Ce n’est pas le cas sur la Côte d’Azur où les ports de Nice et de Cannes ne peuvent accueillir des unités au-delà de 240 m. Malgré ce handicap, en 2006 les deux villes accueilleront un peu plus de 610 escales (+ 9 % par rapport à 2005) principalement en rade.
Le nombre de tête de ligne (161 en 2006 mais de petites unités pour 50.000 passagers) décroît régulièrement depuis des années. Or c’est le marché le plus lucratif. Une étude souligne qu’un passager en tête de ligne dépense en moyenne 302 euros par jour soit trois fois plus qu’un croisiériste en escale.
"Il faudra adapter nos ports"
« Il faudra adapter nos ports. A Cannes cela passe par la construction d’une gare maritime et à Nice, après le choix du futur propriétaire (région ou département), on pourra envisager l’aménagement d’un quai pour grande unité et une gare maritime pour le trafic croisière. » L’activité croisière est enfin un élément indissociable de l’attractivité touristique de la Côte d’Azur sachant qu’un croisiériste sur deux qui découvre la région de cette façon entend bien y revenir en séjour plus classique.
Les compagnies les plus fidèles en 2006 sur la Côte d’Azur : le Groupe RCI avec 67 escales (157.548 passagers), Pullmantur (62 escales) Elysian Cruise (34 escales), Island Cruise(34), Cunard Seabourn (13 escales), Club Med Croisière (19) Esycruise(23).. A Noter à Cannes le Queen Mary 2 qui effectuera trois escales et le Queen Elizabeth 2 pour 3 escales également
Le port ligure de Savone est en train de prendre le pas sur Gênes pour les départs de croisière en tête de lignes grâce à l’adaptation de ses infrastructures. Près de 60 % des passagers préacheminés par avion qui embarquent à Savone transitent par l’aéroport Nice Côte d’Azur plus proche de Savone que celui de Malpensa.