Une récente étude menée par le cabinet d'études Euromonitor prédit une baisse des arrivées de voyageurs en Europe en 2012, de 0,7% dans "le meilleur scénario", celui où la crise actuelle "ne s'aggraverait pas", selon l'AFP.
Un constat qui s’oppose aux 4,3% de croissance en 2011, essentiellement liée aux aux arrivées des Chinois, Brésiliens et Russes.
Seul point positif : le "déclin continu de l'euro par rapport aux monnaies principales" pourrait attirer de riches touristes nord-américains.
Les dépenses des touristes dans la zone euro devraient baisser de 12% et l'activité des compagnies aériennes de 1,4%.
Un constat qui s’oppose aux 4,3% de croissance en 2011, essentiellement liée aux aux arrivées des Chinois, Brésiliens et Russes.
Seul point positif : le "déclin continu de l'euro par rapport aux monnaies principales" pourrait attirer de riches touristes nord-américains.
Les dépenses des touristes dans la zone euro devraient baisser de 12% et l'activité des compagnies aériennes de 1,4%.
Scénario catastrophe
Le cabinet a également imaginé 2 scénarios bien pires. Dans le premier, la Grèce sort de l'euro, les arrivées de touristes baissent de 2,8%, les dépenses touristiques de 4,4%, les recettes hôtelières de 3,6% et les compagnies aériennes de 5%.
Alors que dans le scénario catastrophe, la zone euro se désintègre entrainant une chute des arrivées de 11% et des dépenses de 17,3%.
Les recettes hôtelières plongent de 15%, entrainant un arrêt des programmes de développement, au profit de simples rénovations.
Les budgets de voyages sont drastiquement diminués et l'activité aérienne chute de 19,7%.
Alors que dans le scénario catastrophe, la zone euro se désintègre entrainant une chute des arrivées de 11% et des dépenses de 17,3%.
Les recettes hôtelières plongent de 15%, entrainant un arrêt des programmes de développement, au profit de simples rénovations.
Les budgets de voyages sont drastiquement diminués et l'activité aérienne chute de 19,7%.