Suite à l'augmentation de la taxe de solidarité dite "taxe Chirac" et de la TVA sur les transports, qui passe de 7 à 10%, le SNPL Air France ALPA interpelle les autorités, dans un communiqué.
Le syndicat demande à ce que la taxe Chirac "ne soit plus endossée par les compagnies aériennes françaises, en grandes difficultés financières, mais payée par d'autres secteurs d'activité en meilleure santé".
Il demande aussi au Parlement "qu'il vote une baisse des redevances aéroportuaires", prenant pour exemple la hausse des redevances d'Aéroports de Paris de près de 3%.
Le syndicat demande à ce que la taxe Chirac "ne soit plus endossée par les compagnies aériennes françaises, en grandes difficultés financières, mais payée par d'autres secteurs d'activité en meilleure santé".
Il demande aussi au Parlement "qu'il vote une baisse des redevances aéroportuaires", prenant pour exemple la hausse des redevances d'Aéroports de Paris de près de 3%.