Au cours des 3 dernières années, plus d'un tiers (37 %) des Français de 15 ans et plus ont pris l'avion au moins une fois pour un séjour de loisirs, selon les résultats d'une *étude menée par Raffour Interactif pour Bourse des Vols.
Parmi eux, 70 % déclarent faire attention au nom et à la réputation de la compagnie aérienne au moment de réserver leur voyage.
"Ce taux d'attention est très important, comment Guy Raffour, patron du cabinet d'études. L'accès en temps réel à Internet concourt à faciliter cette prise d'informations actualisées."
Par ailleurs, 53 % des sondés qui ont pris l'avion ces 3 dernières années, assurent avoir le sentiment qu'il existe une différence entre les transporteurs low-cost et les compagnies aériennes classiques du point de vue de la sécurité.
"Ce ressenti majoritaire est à prendre en considération par les compagnies low-cost qui doivent davantage communiquer vis-à-vis des touristes sur la modernité de leur flotte, entretenue et répondant aux normes internationales de sécurité, précise Guy Raffour.
Les Français déduisent spontanément qu'un billet acheté moins cher possède une contrepartie. L'accès au transport aérien par un plus grand nombre de Français, qui n'avaient jamais volé auparavant ni pour des loisirs ni pour leur travail, fait qu'il faut rassurer."
Pour autant, parmi ces passagers qui estiment qu'il y a une différence entre une compagnie à bas-coût et une autre classique, plus de la moitié (56 %) optent quand même pour la low-cost. Ce qui démontre que le tarif reste un facteur de décision important.
Parmi eux, 70 % déclarent faire attention au nom et à la réputation de la compagnie aérienne au moment de réserver leur voyage.
"Ce taux d'attention est très important, comment Guy Raffour, patron du cabinet d'études. L'accès en temps réel à Internet concourt à faciliter cette prise d'informations actualisées."
Par ailleurs, 53 % des sondés qui ont pris l'avion ces 3 dernières années, assurent avoir le sentiment qu'il existe une différence entre les transporteurs low-cost et les compagnies aériennes classiques du point de vue de la sécurité.
"Ce ressenti majoritaire est à prendre en considération par les compagnies low-cost qui doivent davantage communiquer vis-à-vis des touristes sur la modernité de leur flotte, entretenue et répondant aux normes internationales de sécurité, précise Guy Raffour.
Les Français déduisent spontanément qu'un billet acheté moins cher possède une contrepartie. L'accès au transport aérien par un plus grand nombre de Français, qui n'avaient jamais volé auparavant ni pour des loisirs ni pour leur travail, fait qu'il faut rassurer."
Pour autant, parmi ces passagers qui estiment qu'il y a une différence entre une compagnie à bas-coût et une autre classique, plus de la moitié (56 %) optent quand même pour la low-cost. Ce qui démontre que le tarif reste un facteur de décision important.
Plus de la moitié préfèrent les vols directs
L'étude révèle par ailleurs que 3 Français sur 4 qui prévoient de partir en avion en 2014 affirment aborder leurs vols avec sérénité et tranquillité.
En revanche, parmi les personnes qui ont pris l'avion au cours des 3 dernières années, 35 % se disent inquiets pour leurs bagages.
"Ce taux, même s'il est minoritaire, est d'un niveau élevé", comment Guy Raffour. Il ajoute que, selon la SITA, en 2012, les aéroports européens ont égaré 9 millions de bagages. Un nombre en baisse mais qui "reste à un niveau globalement élevé."
Le cabinet constate également que, quitte à payer plus cher, la majorité (56 %) des Français optent pour des vols directs avec des horaires convenables. Mais 72 % ne veulent pas dépenser plus pour choisir leur siège.
56 % des personnes interrogées expliquent préférer payer moins cher et acceptent ainsi que des services à bord soient des options payantes comme les boissons ou les repas.
Enfin, 68 % vont privilégier un billet plus cher pour profiter de la possibilité d'enregistrer des bagages en soute.
En revanche, parmi les personnes qui ont pris l'avion au cours des 3 dernières années, 35 % se disent inquiets pour leurs bagages.
"Ce taux, même s'il est minoritaire, est d'un niveau élevé", comment Guy Raffour. Il ajoute que, selon la SITA, en 2012, les aéroports européens ont égaré 9 millions de bagages. Un nombre en baisse mais qui "reste à un niveau globalement élevé."
Le cabinet constate également que, quitte à payer plus cher, la majorité (56 %) des Français optent pour des vols directs avec des horaires convenables. Mais 72 % ne veulent pas dépenser plus pour choisir leur siège.
56 % des personnes interrogées expliquent préférer payer moins cher et acceptent ainsi que des services à bord soient des options payantes comme les boissons ou les repas.
Enfin, 68 % vont privilégier un billet plus cher pour profiter de la possibilité d'enregistrer des bagages en soute.
Méthodologie
* Cette étude a été réalisée de février à avril 2014 par le Cabinet Raffour Interactif.
Le terrain a été mené auprès de 1011 Français représentatifs de la population française de 15 ans et plus.
La méthode des quotas croisés a été appliquée : CSP + âge + région + habitat + sexe.
Les entretiens individuels ont été menés face à face à domicile par enquêteurs professionnels, France entière. Le plan de sondage a été établi selon la pyramide des âges Insee à janvier 2014.
Les questions ont fait l’objet d’une étude exploratoire qualitative préalable, puis d’un pré-test avant quantification.
Le terrain a été mené auprès de 1011 Français représentatifs de la population française de 15 ans et plus.
La méthode des quotas croisés a été appliquée : CSP + âge + région + habitat + sexe.
Les entretiens individuels ont été menés face à face à domicile par enquêteurs professionnels, France entière. Le plan de sondage a été établi selon la pyramide des âges Insee à janvier 2014.
Les questions ont fait l’objet d’une étude exploratoire qualitative préalable, puis d’un pré-test avant quantification.