Véritable paradoxe, le m-commerce intéresse sans toutefois être générateur de revenus pour les e-commerçants.
Pour cause, la faiblesse des revenus générés par le m-commerce dans le chiffre d’affaires global des sites.
Mais aussi la faiblesse du panier moyen. Selon l’index Adyen des paiements mobiles, dans la catégorie « commerce de détail » par exemple, le smartphone retourne un panier moyen de 56 euros, assez loin des 104 euros générés par l’ordinateur.
Mais au-delà des résultats de ce sondage, d’autres freins agissent comme la taille d’écran des smartphones et le taux de conversion des dispositifs mobiles (1% pour le smartphone), qui reste très en retrait comparativement à celui généré par l’ordinateur (3,11%).
Pour cause, la faiblesse des revenus générés par le m-commerce dans le chiffre d’affaires global des sites.
Mais aussi la faiblesse du panier moyen. Selon l’index Adyen des paiements mobiles, dans la catégorie « commerce de détail » par exemple, le smartphone retourne un panier moyen de 56 euros, assez loin des 104 euros générés par l’ordinateur.
Mais au-delà des résultats de ce sondage, d’autres freins agissent comme la taille d’écran des smartphones et le taux de conversion des dispositifs mobiles (1% pour le smartphone), qui reste très en retrait comparativement à celui généré par l’ordinateur (3,11%).
L’avenir du m-commerce: la tablette
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Avec un panier moyen globalement plus élevé que celui du smartphone, un meilleur taux de conversion (2,59%) et une surface d’affichage largement plus confortable, la tablette dispose des meilleurs atouts pour s’imposer comme le dispositif mobile le plus adapté pour favoriser l’explosion du m-commerce.
Demain, le smartphone sera majoritairement réservé à la consultation des offres, à la recherche d’informations sur les produits, à la localisation de magasins…
Ou certainement pour acheter des produits peu onéreux (gaming, produits dématérialisés, accessoires…), mais sa surface d’affichage le rend inadapté pour des produits coûteux ou nécessitant un processus décisionnel plus complexe.
Le smartphone et la tablette sont deux dispositifs mobiles très complémentaires, l’un compensant les faiblesses de l’autre, qui sauront sans aucun doute mettre cette complémentarité au service des e-marchands et du m-commerce.
Demain, le smartphone sera majoritairement réservé à la consultation des offres, à la recherche d’informations sur les produits, à la localisation de magasins…
Ou certainement pour acheter des produits peu onéreux (gaming, produits dématérialisés, accessoires…), mais sa surface d’affichage le rend inadapté pour des produits coûteux ou nécessitant un processus décisionnel plus complexe.
Le smartphone et la tablette sont deux dispositifs mobiles très complémentaires, l’un compensant les faiblesses de l’autre, qui sauront sans aucun doute mettre cette complémentarité au service des e-marchands et du m-commerce.