Les ponts du mois de mai 2012 n'ont pas eu le succès escompté pour l'hôtellerie française, selon les statistiques Deloitte-In Extenso.
Les établissements haut de gamme voient leur taux d'occupation (TO) diminuer de -2,4% (à 72,4%) en mai 2012. Il est même en baisse de -6,4% (à 66%) pour les hôtels économiques.
A Paris, presque toutes les catégories ont vu le TO chuter de -3% pour le haut de gamme, jusqu'à -5% pour les établissements économiques. Seuls les adresse grand luxe enregistrent une hausse de +1,4%.
Mais c'est en province que les résultats les plus inquiétants ont été observés. L'hôtellerie Grand Luxe y voit ainsi sont TO dégringoler de +10,2% par rapport à mai 2011. Les autres catégories sont toutes en baisse également : de -5% pour les super-éco et le haut de gamme, jusqu'à -6,8% pour l'économique.
"Dans la plupart des cas, cette baisse de l'occupation s'est accompagnée d'une progression des prix moyens", précise l'institut dans un communiqué. C'est ce qui a notamment permis de limiter l'impact sur le chiffre d'affaires et de faire même progresser le revenu par chambre disponible (RevPAR) dans certains cas.
Les établissements haut de gamme voient leur taux d'occupation (TO) diminuer de -2,4% (à 72,4%) en mai 2012. Il est même en baisse de -6,4% (à 66%) pour les hôtels économiques.
A Paris, presque toutes les catégories ont vu le TO chuter de -3% pour le haut de gamme, jusqu'à -5% pour les établissements économiques. Seuls les adresse grand luxe enregistrent une hausse de +1,4%.
Mais c'est en province que les résultats les plus inquiétants ont été observés. L'hôtellerie Grand Luxe y voit ainsi sont TO dégringoler de +10,2% par rapport à mai 2011. Les autres catégories sont toutes en baisse également : de -5% pour les super-éco et le haut de gamme, jusqu'à -6,8% pour l'économique.
"Dans la plupart des cas, cette baisse de l'occupation s'est accompagnée d'une progression des prix moyens", précise l'institut dans un communiqué. C'est ce qui a notamment permis de limiter l'impact sur le chiffre d'affaires et de faire même progresser le revenu par chambre disponible (RevPAR) dans certains cas.
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