Du côté des agences de voyages, le SNAV a décidé de lancer une procédure de référé pour bloquer les fonds dus au BSP, comme cela avait été fait au moment de la faillite d‘Air Madrid. /photo Wikipedia
La décision de stopper l’ensemble des vols vendredi matin après blocage d’un appareil à Tel Aviv a laissé sur le carreau 7 000 passagers pour la seule journée de vendredi 3 février 2012.
Mais beaucoup plus pour les jours suivants.
Le gouvernement hongrois a laissé entendre qu’il préparait un budget de 2 milliards de forint (6,8 millions d’euros) pour rembourser les passagers obligés de prendre un autre transporteur pour effectuer leurs vols retour.
Easyjet et Wizz Air ont accordé des tarifs spéciaux pendant le week-end et jusqu’à lundi soir.
Il n’empêche que la compagnie n’a pas officiellement déposé le bilan puisque le gouvernement hongrois a décidé de la maintenir en vie en la déclarant jeudi dernier, "compagnie d’importance stratégique .
Mais beaucoup plus pour les jours suivants.
Le gouvernement hongrois a laissé entendre qu’il préparait un budget de 2 milliards de forint (6,8 millions d’euros) pour rembourser les passagers obligés de prendre un autre transporteur pour effectuer leurs vols retour.
Easyjet et Wizz Air ont accordé des tarifs spéciaux pendant le week-end et jusqu’à lundi soir.
Il n’empêche que la compagnie n’a pas officiellement déposé le bilan puisque le gouvernement hongrois a décidé de la maintenir en vie en la déclarant jeudi dernier, "compagnie d’importance stratégique .
La législation européenne prévoit l'assistance aux passagers
Et, dans ce cas-là, fait remarquer Maitre Sprecher, c’est la législation européenne obligeant les compagnies aériennes à une assistance aux passagers (261-2004, articles 8 et 9) qui s’applique.
Ce qui signifie prise en charge des frais d’hôtels, de repas, etc.. pour les passagers bloqués aux aéroports.
Du côté des agences de voyages, le SNAV a décidé de lancer une procédure de référé pour bloquer les fonds dus au BSP, comme cela avait été fait au moment de la faillite d‘Air Madrid.
Pour le mois de janvier, le montant de la billetterie émise serait de 700 000 euros dus à l’échéance du 15 février.
"IATA ayant suspendu Malev du BSP, la procédure du référé peut s’enclencher même si la compagnie n’a pas officiellement déposé", estime Jean-Pierre Mas, le président de la commission air du SNAV.
Ce qui signifie prise en charge des frais d’hôtels, de repas, etc.. pour les passagers bloqués aux aéroports.
Du côté des agences de voyages, le SNAV a décidé de lancer une procédure de référé pour bloquer les fonds dus au BSP, comme cela avait été fait au moment de la faillite d‘Air Madrid.
Pour le mois de janvier, le montant de la billetterie émise serait de 700 000 euros dus à l’échéance du 15 février.
"IATA ayant suspendu Malev du BSP, la procédure du référé peut s’enclencher même si la compagnie n’a pas officiellement déposé", estime Jean-Pierre Mas, le président de la commission air du SNAV.