En attendant une renégociation du contrat – ou sa résiliation ? - , la fin des travaux avec une éventuelle réouverture du Mornéa (notre photo), Marmara protège l'ensemble sa clientèle aux mêmes conditions tarifaires à l'Indiana resort, un hôtel de catégorie supérieure./photo dr
A la veille de la haute saison, l'affaire ne pouvait plus mal tomber pour le Groupe Nouvelles Frontières.
A partir d'aujourd'hui 8 novembre, Corsairfly met même en place une rotation supplémentaire sur Maurice ce qui porte à quatre le nombre de vols hebdomadaires.
Une chose est certaine : le torchon brûlait depuis quelques mois entre le groupe Apavou propriétaire de l'hôtel Mornea devenu « Club Marmara Mauritius » et le TO.
« L'hôtel ne répondait pas à notre cahier des charges et ne respectait pas la charte que nous demandons aux Clubs Marmara.
Nous avions des problèmes de management et de gestion. De nombreux points n'étaient pas respectés . Nous avions demandé la réalisation de certains travaux... ».
A partir d'aujourd'hui 8 novembre, Corsairfly met même en place une rotation supplémentaire sur Maurice ce qui porte à quatre le nombre de vols hebdomadaires.
Une chose est certaine : le torchon brûlait depuis quelques mois entre le groupe Apavou propriétaire de l'hôtel Mornea devenu « Club Marmara Mauritius » et le TO.
« L'hôtel ne répondait pas à notre cahier des charges et ne respectait pas la charte que nous demandons aux Clubs Marmara.
Nous avions des problèmes de management et de gestion. De nombreux points n'étaient pas respectés . Nous avions demandé la réalisation de certains travaux... ».
Marmara protège l'ensemble sa clientèle à l'Indiana resort
En attendant une renégociation du contrat – ou sa résiliation ? - , la fin des travaux avec une éventuelle réouverture du Mornéa, Marmara protège l'ensemble sa clientèle aux mêmes conditions tarifaires à l'Indiana resort, un hôtel de catégorie supérieure.
Ceci étant, il sera difficile dans l'avenir de trouver un établissement aux tarifs aussi intéressants. Et il y a fort à parier que les forfaits qui faisaient l'attrait du produit d'entrée de gamme de Marmara, auront du mal à tenir la route.
Mais pour l'instant, le discours est catégorique : «Nouvelles Frontières et Marmara sont et restent sur Maurice. Nos engagements seront tenus. La capacité hôtelière de l'île est largement suffisante ».
Tel était le message donné par la direction générale du groupe hier soir qui a précisé par ailleurs qu'elle travaillait « en totale concertation étroite avec le Gouvernement mauricien pour le développement de son économie».
Les difficultés rencontrées à Maurice ne changent en rien la politique développée par le groupe sur la République Dominicaine, l'autre destination balnéaire long courrier de Marmara.
« A chaque destination.... sa destinée ».
Ceci étant, il sera difficile dans l'avenir de trouver un établissement aux tarifs aussi intéressants. Et il y a fort à parier que les forfaits qui faisaient l'attrait du produit d'entrée de gamme de Marmara, auront du mal à tenir la route.
Mais pour l'instant, le discours est catégorique : «Nouvelles Frontières et Marmara sont et restent sur Maurice. Nos engagements seront tenus. La capacité hôtelière de l'île est largement suffisante ».
Tel était le message donné par la direction générale du groupe hier soir qui a précisé par ailleurs qu'elle travaillait « en totale concertation étroite avec le Gouvernement mauricien pour le développement de son économie».
Les difficultés rencontrées à Maurice ne changent en rien la politique développée par le groupe sur la République Dominicaine, l'autre destination balnéaire long courrier de Marmara.
« A chaque destination.... sa destinée ».