Voilà ce que c'est que d'avoir des ministres islamistes (même modérés) dans son Gouvernement : à un moment donné (on ne sait comment, ni pourquoi...) on sait qu'ils vont péter les plombs.
Et alors, là, les conséquences peuvent être dramatiques. L'Egypte en sait quelque chose. Ses tergiversations concernant les "parcs à touristes" lui ont déjà coûté quelques points de PIB et ce n'est pas terminé.
C'est peut-être le prix à payer pour la démocratie (?) mais égoïstement on préférerait presque parfois garder les tyrans, comme me faisait remarquer dernièrement la représentante à Paris d'une grande destination touristique...
Bref, la tirade de son collègue qui a fait le tour du web en un tourne main, a obligé Lahcen Haddad, ministre du Tourisme, à corriger le tir.
Pour lui, "les touristes qui viennent à Marrakech comme ailleurs, jouissent de leurs vacances dans le cadre de la loi en vigueur." Encore heureux !
Si le Maroc, considéré comme une destination "refuge" pour les touristes français rebutés par la tournure inattendue du Printemps arabe, part aussi en sucette, il ne nous restera bientôt plus que l'Espagne, l'Italie et la Belgique comme destinations proches où passer nos vacances...
Il y a fort à parier que le ministre s'est fait passer un bon savon par sa Majesté. En tout cas, "L'Economiste" dans son édito souligne fort à propos que "Le tourisme est une composante essentielle de l’économie marocaine (...) Alors si nos ministres se mettent à intimider et effrayer les clients qui nous font encore confiance… ?"
On n'est jamais trahi que par les siens !
Et alors, là, les conséquences peuvent être dramatiques. L'Egypte en sait quelque chose. Ses tergiversations concernant les "parcs à touristes" lui ont déjà coûté quelques points de PIB et ce n'est pas terminé.
C'est peut-être le prix à payer pour la démocratie (?) mais égoïstement on préférerait presque parfois garder les tyrans, comme me faisait remarquer dernièrement la représentante à Paris d'une grande destination touristique...
Bref, la tirade de son collègue qui a fait le tour du web en un tourne main, a obligé Lahcen Haddad, ministre du Tourisme, à corriger le tir.
Pour lui, "les touristes qui viennent à Marrakech comme ailleurs, jouissent de leurs vacances dans le cadre de la loi en vigueur." Encore heureux !
Si le Maroc, considéré comme une destination "refuge" pour les touristes français rebutés par la tournure inattendue du Printemps arabe, part aussi en sucette, il ne nous restera bientôt plus que l'Espagne, l'Italie et la Belgique comme destinations proches où passer nos vacances...
Il y a fort à parier que le ministre s'est fait passer un bon savon par sa Majesté. En tout cas, "L'Economiste" dans son édito souligne fort à propos que "Le tourisme est une composante essentielle de l’économie marocaine (...) Alors si nos ministres se mettent à intimider et effrayer les clients qui nous font encore confiance… ?"
On n'est jamais trahi que par les siens !