Il faut dire que la capitalisation de la compagnie tricolore qui bat sérieusement de l'aile, se prête à toutes spéculations.
En effet, Air France-KLM après un crash de l'ordre de 50% depuis le 1er janvier, a vu sa capitalisation boursière plonger à moins de 2 Milliards d'Euros... De quoi donner des idées aux tycoons de tout poil.
Il y a fort peu de chances pour que Nanar puisse réitérer le coup du Club Méditerranée au printemps 2009 où, grâce à une prise de participation minoritaire et des pressions sur la direction, il voulait prendre les manettes de la marque au Trident, alors bousculée en Bourse et en affaires.
D'abord parce que l'Etat reste actionnaire de la Compagnie à 15,7% et que le personnel dispose aussi de 9,8%. Et quand on connaît la puissance de la représentation syndicale chez Air France, on est tranquille.
Mais l'homme d'affaires-acteur-serial entrepreneur-animateur TV et accessoirement chanteur et homme politique (ce qui lui a le moins bien réussi), en mal de médiatisation, n'a pas perdu un gramme de son talent de communicateur.
Peut-être attend-il un coup de pouce de Christine Lagarde, qui a, désormais, d'autres déficits à fouetter ?
A voir, mais si vous lisez ces lignes c'est que, quelque part, il a atteint son objectif, CQFD !
En effet, Air France-KLM après un crash de l'ordre de 50% depuis le 1er janvier, a vu sa capitalisation boursière plonger à moins de 2 Milliards d'Euros... De quoi donner des idées aux tycoons de tout poil.
Il y a fort peu de chances pour que Nanar puisse réitérer le coup du Club Méditerranée au printemps 2009 où, grâce à une prise de participation minoritaire et des pressions sur la direction, il voulait prendre les manettes de la marque au Trident, alors bousculée en Bourse et en affaires.
D'abord parce que l'Etat reste actionnaire de la Compagnie à 15,7% et que le personnel dispose aussi de 9,8%. Et quand on connaît la puissance de la représentation syndicale chez Air France, on est tranquille.
Mais l'homme d'affaires-acteur-serial entrepreneur-animateur TV et accessoirement chanteur et homme politique (ce qui lui a le moins bien réussi), en mal de médiatisation, n'a pas perdu un gramme de son talent de communicateur.
Peut-être attend-il un coup de pouce de Christine Lagarde, qui a, désormais, d'autres déficits à fouetter ?
A voir, mais si vous lisez ces lignes c'est que, quelque part, il a atteint son objectif, CQFD !