C’est une nécessité pour GL Events qui associe cette réduction de personnel à un plan d’accroissement des recettes et de rénovation de l’outil. La société constate que le passif cumulé sur les 6 dernières années s’élève à 7 ME.
Or les subventions municipales ne permettent pas de le combler. "Le résultat était déficitaire de 1 à 2 ME par an", précise Jean-Eudes Rabut, directeur général d’Acropolis pour GL Events. "La cité doit participer à hauteur de 3,1 ME au plan de restructuration. Le contrat passé avec la ville impose à terme l’équilibre des comptes."
Une remise à niveau d’Acropolis est indispensable
Pour GL Events une remise à niveau d’Acropolis est indispensable face à la concurrence internationale. Il veut compléter l’activité d’accueil de congrès, salons ou conventions par des manifestations plus festives et le lancement de produits.
Pour cela, il demande au syndicat des hôteliers de le soutenir dans ses efforts en échange d’une place au comité de surveillance. Les salariés sont mobilisés et réclament la gestion sous la forme de SEM comme celle gérant le palais des festivals à Cannes.
Quoi qu’il en soit la ville devra engager des travaux lourds de remise aux normes et de confort du bâtiment, et GL Events dans son contrat promet d’investir 7 ME pour l’aménagement et le décor. Toutefois deux procédures sont en cours au tribunal administratif pour faire annuler le contrat d’affermage.
Or les subventions municipales ne permettent pas de le combler. "Le résultat était déficitaire de 1 à 2 ME par an", précise Jean-Eudes Rabut, directeur général d’Acropolis pour GL Events. "La cité doit participer à hauteur de 3,1 ME au plan de restructuration. Le contrat passé avec la ville impose à terme l’équilibre des comptes."
Une remise à niveau d’Acropolis est indispensable
Pour GL Events une remise à niveau d’Acropolis est indispensable face à la concurrence internationale. Il veut compléter l’activité d’accueil de congrès, salons ou conventions par des manifestations plus festives et le lancement de produits.
Pour cela, il demande au syndicat des hôteliers de le soutenir dans ses efforts en échange d’une place au comité de surveillance. Les salariés sont mobilisés et réclament la gestion sous la forme de SEM comme celle gérant le palais des festivals à Cannes.
Quoi qu’il en soit la ville devra engager des travaux lourds de remise aux normes et de confort du bâtiment, et GL Events dans son contrat promet d’investir 7 ME pour l’aménagement et le décor. Toutefois deux procédures sont en cours au tribunal administratif pour faire annuler le contrat d’affermage.