Le départ de l’Américain Dale Moss de la tête d’Openskies n’est qu’une demie surprise. Depuis plusieurs mois, la pression se fait plus forte sur l’équipe de la petite compagnie tout Affaires pour normaliser un certain nombre d’éléments.
Si la ligne de New York est maintenant bien établie et dispose d’un volant de clientèle suffisant, il n’en est pas de même pour la ligne de Washington, un an après son lancement. Alors que Dale Moss tablait sur la clientèle Affaires, en particulier américaine, cette dernière n’est visiblement pas au rendez-vous.
Récemment, le patron en partance estimait que seul un accord de code share avec American Airlines dans le cadre de la joint venture transatlantique BA/AA/IB pourrait ramener des passagers américains, et notamment les cadres de l’administration américaine basés à Washington.
Face à l’A 380 qu’Air France a décidé d’installer sur la capitale fédérale américaine, il y a urgence à trouver une solution.
Si la ligne de New York est maintenant bien établie et dispose d’un volant de clientèle suffisant, il n’en est pas de même pour la ligne de Washington, un an après son lancement. Alors que Dale Moss tablait sur la clientèle Affaires, en particulier américaine, cette dernière n’est visiblement pas au rendez-vous.
Récemment, le patron en partance estimait que seul un accord de code share avec American Airlines dans le cadre de la joint venture transatlantique BA/AA/IB pourrait ramener des passagers américains, et notamment les cadres de l’administration américaine basés à Washington.
Face à l’A 380 qu’Air France a décidé d’installer sur la capitale fédérale américaine, il y a urgence à trouver une solution.
Il s’agit maintenant de reformater Openskies
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Mais même si accord il y avait avec American Airlines, le produit Openskies est difficile à vendre par les billettistes Affaires, de l‘aveu même de Patrick Malval.
Dans quelle catégorie faire entrer ces deux classes dans les GDS, alors que toutes les deux sont des classes Affaires ?
Autant dire que la réflexion est entamée pour envisager la solution de réintroduire le produit tri-classe qui fut installé pendant une courte période pour faciliter les accords commerciaux avec les entreprises et, en conséquence, la vente du produit.
En attendant, la compagnie tire son épingle du jeu avec le volet de vols affrétés opérés par les B-757 de la flotte.
Et, autre élément de taille, sa présence à Orly est stratégique pour le groupe IAG (BA/IB). Mais il s’agit maintenant de reformater Openskies pour la faire rentrer dans le rang…
Dans quelle catégorie faire entrer ces deux classes dans les GDS, alors que toutes les deux sont des classes Affaires ?
Autant dire que la réflexion est entamée pour envisager la solution de réintroduire le produit tri-classe qui fut installé pendant une courte période pour faciliter les accords commerciaux avec les entreprises et, en conséquence, la vente du produit.
En attendant, la compagnie tire son épingle du jeu avec le volet de vols affrétés opérés par les B-757 de la flotte.
Et, autre élément de taille, sa présence à Orly est stratégique pour le groupe IAG (BA/IB). Mais il s’agit maintenant de reformater Openskies pour la faire rentrer dans le rang…