Opwigo, une nouvelle start-up prometteuse. DR-site Opwigo.
Opwigo pourrait bien être la future pépite française de l'e-tourisme.
Cette nouvelle start-up, qui se lance aujourd'hui, se présente comme le couteau suisse du tourisme.
Elle espère devenir un outil indispensable pour tous les voyageurs mais également un formidable levier de croissance pour les professionnels du tourisme.
En effet, Opwigo est un portail qui synthétise toutes les fonctionnalités à disposition d'un internaute pour préparer son voyage.
A la fois réseau social, plateforme de création de circuits, agrégateur d'hôtels, d'activités, de restaurants, de vols, site d'avis de voyageurs mais aussi d'informations pratiques sur les pays, le site est un véritable inventaire à la Prévert.
Et ce qui aurait pu être un beau capharnaüm numérique s'avère en réalité très simple d'utilisation, en dépit de ses nombreuses fonctionnalités.
Sa force principale : intervenir à toutes les étapes d'un voyage.
Cette nouvelle start-up, qui se lance aujourd'hui, se présente comme le couteau suisse du tourisme.
Elle espère devenir un outil indispensable pour tous les voyageurs mais également un formidable levier de croissance pour les professionnels du tourisme.
En effet, Opwigo est un portail qui synthétise toutes les fonctionnalités à disposition d'un internaute pour préparer son voyage.
A la fois réseau social, plateforme de création de circuits, agrégateur d'hôtels, d'activités, de restaurants, de vols, site d'avis de voyageurs mais aussi d'informations pratiques sur les pays, le site est un véritable inventaire à la Prévert.
Et ce qui aurait pu être un beau capharnaüm numérique s'avère en réalité très simple d'utilisation, en dépit de ses nombreuses fonctionnalités.
Sa force principale : intervenir à toutes les étapes d'un voyage.
Les professionnels du tourisme pourront promouvoir leurs produits
Prenons l'exemple d'un circuit entre New York et Chicago.
Avant son départ, l'internaute créé un compte (via Facebook ou directement sur le site) afin de construire son itinéraire en choisissant les sites qu'il souhaite visiter. Il peut s'inspirer d'itinéraires déjà réalisés et publiés par d'autres membres.
Une fois son projet terminé, il ajoute des transports, des hôtels, voire même des activités et des restaurants. A chaque étape, Opwigo proposera des suggestions via des liens rémunérés avec Booking, Expedia, la Fourchette, FNAC ; ses premiers partenaires.
"Bien entendu, l'internaute pourra toujours acheter en direct, il n'y a aucune obligation. A nous de lui proposer les bons outils pour l'inciter à réserver via notre plate-forme" explique Maud Clementelli, la directrice communication.
Les propriétaires de lieux (hôtels sites et même offices du tourisme) pourront également enrichir leur fiche informative et pourquoi pas proposer directement des offres spéciales aux internautes.
Une fois son circuit terminé, le voyageur peut l'ouvrir à la communauté, s'il ne veut pas partir seul, ou alors à ses amis ou sa famille, qui donneront leur avis.
Pendant le séjour, notre baroudeur pourra se géolocaliser afin de garder une trace des lieux visités, mais également obtenir des suggestions de sites à découvrir dans les alentours.
Enfin au retour, Opwigo lui permettra de partager son expérience grâce à des photos, des avis, suggestions d’adresses et autres précisions sur les tarifs ou les temps de transports en commun par exemple.
Avant son départ, l'internaute créé un compte (via Facebook ou directement sur le site) afin de construire son itinéraire en choisissant les sites qu'il souhaite visiter. Il peut s'inspirer d'itinéraires déjà réalisés et publiés par d'autres membres.
Une fois son projet terminé, il ajoute des transports, des hôtels, voire même des activités et des restaurants. A chaque étape, Opwigo proposera des suggestions via des liens rémunérés avec Booking, Expedia, la Fourchette, FNAC ; ses premiers partenaires.
"Bien entendu, l'internaute pourra toujours acheter en direct, il n'y a aucune obligation. A nous de lui proposer les bons outils pour l'inciter à réserver via notre plate-forme" explique Maud Clementelli, la directrice communication.
Les propriétaires de lieux (hôtels sites et même offices du tourisme) pourront également enrichir leur fiche informative et pourquoi pas proposer directement des offres spéciales aux internautes.
Une fois son circuit terminé, le voyageur peut l'ouvrir à la communauté, s'il ne veut pas partir seul, ou alors à ses amis ou sa famille, qui donneront leur avis.
Pendant le séjour, notre baroudeur pourra se géolocaliser afin de garder une trace des lieux visités, mais également obtenir des suggestions de sites à découvrir dans les alentours.
Enfin au retour, Opwigo lui permettra de partager son expérience grâce à des photos, des avis, suggestions d’adresses et autres précisions sur les tarifs ou les temps de transports en commun par exemple.
Un jeune portail déjà exhaustif
Au-delà du circuit au long cours, Opwigo a également l’ambition d’être un moteur de recherche inspirationnel pour les week-ends et les sorties en France.
"Les gens font un grand voyage une ou deux fois par an. Pour qu'ils utilisent notre site le plus souvent possible nous leur proposons aussi d'organiser leurs sorties moins lointaines", poursuit Maud.
Exemple : en tapant « girafe à paris » dans le moteur de recherche. Opwigo nous renvoie vers le zoo de Vincennes. Et si l’on tape le mot « insectes » le site nous suggère toute une liste de restaurants qui servent ces petites bêtes.
Le portail n’en est qu’à ses débuts mais peut s'enorgueillir d'une impressionnante exhaustivité des données. Tous les sites majeurs des pays du monde sont déjà enregistrés, même pour les plus exotiques, comme par exemple le Bhoutan.
Le sens du détail dans les infos pratiques va très loin, jusqu’au cliché de la prise électrique, l’accessibilité pour les handicapés ou encore la conversion automatique des devises. Les informations administratives et sécuritaires sont actualisées en temps réel grâce à un partenariat avec le Ministère des Affaires Etrangères.
Un tel projet ne s'est pas construit en un jour. Il mûrit dans la tête d'Anthony Gies depuis 2008.
Accompagné de Maud Clementelli, rencontrée en travaillant au Ministère de la Défense, ils ont décidé de se lancer à 100% dans l’aventure en intégrant un incubateur de la ville de Paris le 2 avril 2015.
Grâce à ses compétences d'ingénieur, Antony a tout programmé lui-même avec des données en open data " Le même site produit par une agence coûterait entre 200 000 et 300 000 euros", assure-t-il.
"Les gens font un grand voyage une ou deux fois par an. Pour qu'ils utilisent notre site le plus souvent possible nous leur proposons aussi d'organiser leurs sorties moins lointaines", poursuit Maud.
Exemple : en tapant « girafe à paris » dans le moteur de recherche. Opwigo nous renvoie vers le zoo de Vincennes. Et si l’on tape le mot « insectes » le site nous suggère toute une liste de restaurants qui servent ces petites bêtes.
Le portail n’en est qu’à ses débuts mais peut s'enorgueillir d'une impressionnante exhaustivité des données. Tous les sites majeurs des pays du monde sont déjà enregistrés, même pour les plus exotiques, comme par exemple le Bhoutan.
Le sens du détail dans les infos pratiques va très loin, jusqu’au cliché de la prise électrique, l’accessibilité pour les handicapés ou encore la conversion automatique des devises. Les informations administratives et sécuritaires sont actualisées en temps réel grâce à un partenariat avec le Ministère des Affaires Etrangères.
Un tel projet ne s'est pas construit en un jour. Il mûrit dans la tête d'Anthony Gies depuis 2008.
Accompagné de Maud Clementelli, rencontrée en travaillant au Ministère de la Défense, ils ont décidé de se lancer à 100% dans l’aventure en intégrant un incubateur de la ville de Paris le 2 avril 2015.
Grâce à ses compétences d'ingénieur, Antony a tout programmé lui-même avec des données en open data " Le même site produit par une agence coûterait entre 200 000 et 300 000 euros", assure-t-il.
Un modèle économique pertinent
200 000 euros, c'est justement leur budget prévisionnel pour les 18 mois à venir. Soit une bonne partie de toutes leurs économies en attendant que leur pépite rapporte de l'argent.
Ce qui ne devrait pas tarder à arriver. En effet, leur modèle économique tient la route grâce à des leviers financiers divers et variés.
Outre les classiques bannières publicitaires, Opwigo possède déjà des liens d’affiliation avec Booking, Expedia pour les hôtels, la Fourchette pour les restaurants, la FNAC pour les activités/spectacles et rentalcars.com pour les locations de voiture.
Le duo espère rapidement multiplier les partenariats dans tous les pays du monde ainsi qu'avec les leaders de l’économie collaborative, comme Blablacar ou Drivy.
Mais ils voient déjà plus loin et sont à la recherche de financements afin développer une application smartphone, qui permettrait d'accéder à son profil même hors connexion. Et les maquettes pour une version anglaise et espagnole sont déjà prêts.
Maud Clementelli et d'Anthony Gies espèrent séduire 100 000 voyageurs d'ici l'été prochain. Un objectif ambitieux mais réaliste au regard du potentiel de leur projet.
Ce qui ne devrait pas tarder à arriver. En effet, leur modèle économique tient la route grâce à des leviers financiers divers et variés.
Outre les classiques bannières publicitaires, Opwigo possède déjà des liens d’affiliation avec Booking, Expedia pour les hôtels, la Fourchette pour les restaurants, la FNAC pour les activités/spectacles et rentalcars.com pour les locations de voiture.
Le duo espère rapidement multiplier les partenariats dans tous les pays du monde ainsi qu'avec les leaders de l’économie collaborative, comme Blablacar ou Drivy.
Mais ils voient déjà plus loin et sont à la recherche de financements afin développer une application smartphone, qui permettrait d'accéder à son profil même hors connexion. Et les maquettes pour une version anglaise et espagnole sont déjà prêts.
Maud Clementelli et d'Anthony Gies espèrent séduire 100 000 voyageurs d'ici l'été prochain. Un objectif ambitieux mais réaliste au regard du potentiel de leur projet.