i-tourisme : ÔVoyages lance le package dynamique. L’annonce est d’importance, car c’est tendance, mais n’est-ce pas un peu tard ?
Christian Vanroy : Il n’est jamais trop tard pour bien faire, d’autant plus que les technos ont évolué et nous sommes donc aujourd’hui en mesure d’offrir des solutions plus performantes et plus innovantes.
i-tourisme : Parlons-en justement. Le package dynamique, ce n’est pas nouveau. Quels sont vos avantages concurrentiels ?
Christian Vanroy : D’abord, la faculté de multiplier les offres pour coller davantage aux évolutions du marché, de nous appuyer sur des partenaires qui se sont récemment imposés comme les plus efficients, et je pense à MisterFly qui nous permet d’accéder à toute l’offre GDS et low cost.
i-tourisme : Pouvez-vous nous expliquer ce que vous entendez par la multiplication des offres ?
Christian Vanroy : Nous sommes dans un marché fluctuant et nous devons en permanence nous ajuster pour coller aux évolutions des prix !
C’est pour cette raison que nous saisissons les opportunités qui se présentent tout au long de l’année, pour ne pas rater de nouvelles ventes.
On est donc amené à multiplier les offres. En les multipliant, on augmente forcément la demande. C’est presque linéaire.
Christian Vanroy : Il n’est jamais trop tard pour bien faire, d’autant plus que les technos ont évolué et nous sommes donc aujourd’hui en mesure d’offrir des solutions plus performantes et plus innovantes.
i-tourisme : Parlons-en justement. Le package dynamique, ce n’est pas nouveau. Quels sont vos avantages concurrentiels ?
Christian Vanroy : D’abord, la faculté de multiplier les offres pour coller davantage aux évolutions du marché, de nous appuyer sur des partenaires qui se sont récemment imposés comme les plus efficients, et je pense à MisterFly qui nous permet d’accéder à toute l’offre GDS et low cost.
i-tourisme : Pouvez-vous nous expliquer ce que vous entendez par la multiplication des offres ?
Christian Vanroy : Nous sommes dans un marché fluctuant et nous devons en permanence nous ajuster pour coller aux évolutions des prix !
C’est pour cette raison que nous saisissons les opportunités qui se présentent tout au long de l’année, pour ne pas rater de nouvelles ventes.
On est donc amené à multiplier les offres. En les multipliant, on augmente forcément la demande. C’est presque linéaire.
i-tourisme : Mais vous vous auto-concurrencez avec vos engagements ?
Christian Vanroy : Oui, mais au final tout le monde y gagne. L’agence qui propose les meilleures opportunités du moment. Le client qui profite du yield et nous, qui augmentons nos ventes.
i-tourisme : Au détriment de vos engagements ?
Christian Vanroy : Pas vraiment. C’est une question d’équilibre. Si nous ne nous interdisons pas de vendre des vols à des prix inférieurs à nos engagements, nous savons à quelle période ou à quel type de clientèle il est opportun de présenter ces derniers.
Ce sont nos algorithmes qui font le travail. Leur qualité et la pertinence des filtres que nous avons mis en place expliquent la rentabilité de notre système.
i-tourisme : A vous entendre, la technologie devient prépondérante ?
Christian Vanroy : Aujourd’hui, les plus gros bouleversements sont d’ordre technologique. Dans le tourisme, depuis quelques années, en effet, c’est le cas.
i-tourisme : C’est une technologie propriétaire ?
Christian Vanroy : Oui, car nous voulions être capables de faire évoluer nous-mêmes la solution. Un système ne doit pas être figé. Il doit, en continu, s’actualiser. Et comme tout change tout le temps, nous devons suivre avec la garantie de maîtriser la technologie.
Christian Vanroy : Oui, mais au final tout le monde y gagne. L’agence qui propose les meilleures opportunités du moment. Le client qui profite du yield et nous, qui augmentons nos ventes.
i-tourisme : Au détriment de vos engagements ?
Christian Vanroy : Pas vraiment. C’est une question d’équilibre. Si nous ne nous interdisons pas de vendre des vols à des prix inférieurs à nos engagements, nous savons à quelle période ou à quel type de clientèle il est opportun de présenter ces derniers.
Ce sont nos algorithmes qui font le travail. Leur qualité et la pertinence des filtres que nous avons mis en place expliquent la rentabilité de notre système.
i-tourisme : A vous entendre, la technologie devient prépondérante ?
Christian Vanroy : Aujourd’hui, les plus gros bouleversements sont d’ordre technologique. Dans le tourisme, depuis quelques années, en effet, c’est le cas.
i-tourisme : C’est une technologie propriétaire ?
Christian Vanroy : Oui, car nous voulions être capables de faire évoluer nous-mêmes la solution. Un système ne doit pas être figé. Il doit, en continu, s’actualiser. Et comme tout change tout le temps, nous devons suivre avec la garantie de maîtriser la technologie.
i-tourisme : Et de proposer enfin plus de flexibilité !
Christian Vanroy : Vous dites enfin et vous avez raison, car aujourd’hui, c’est ce que demandent les clients et on doit donner aux agences les bons outils pour y répondre.
Nous devons donner le choix. Choix des jours de départ, des aéroports, des destinations et pour les vols : charter, régulier et low cost.
Pour revenir à ce que je disais : plus on laisse de choix, plus on réalise des ventes. Bien entendu, il faut veiller à la pertinence de l’ensemble. C’est sur ce terrain que la réussite est sous-tendue.
i-tourisme : Pourquoi ?
Christian Vanroy : Car il est indispensable de tout mixer d’une façon globale. Tout l’enjeu est là, à notre niveau.
On ne peut plus se promettre d’être performant sur quelques dates. Il faut l’être tout le temps, en veillant à être simple d’utilisation pour l’agence.
J’ai l’habitude de dire qu’un enfant de 5 ans doit pouvoir se servir de notre système facilement. Même si certains enfants de 5 ans se révèlent être plus experts que nous avec les NTIC, je veux dire par là que notre BtoB doit être très simple pour l’utilisateur.
i-tourisme : Sur un même écran ?
Christian Vanroy : Bien entendu. Les agences accèdent à notre production statique et dynamique sur le même écran, tout comme les ventes additionnelles, comme les transferts privés, la location de voiture, les packs excursion et bien sûr les produits bien-être.
Christian Vanroy : Vous dites enfin et vous avez raison, car aujourd’hui, c’est ce que demandent les clients et on doit donner aux agences les bons outils pour y répondre.
Nous devons donner le choix. Choix des jours de départ, des aéroports, des destinations et pour les vols : charter, régulier et low cost.
Pour revenir à ce que je disais : plus on laisse de choix, plus on réalise des ventes. Bien entendu, il faut veiller à la pertinence de l’ensemble. C’est sur ce terrain que la réussite est sous-tendue.
i-tourisme : Pourquoi ?
Christian Vanroy : Car il est indispensable de tout mixer d’une façon globale. Tout l’enjeu est là, à notre niveau.
On ne peut plus se promettre d’être performant sur quelques dates. Il faut l’être tout le temps, en veillant à être simple d’utilisation pour l’agence.
J’ai l’habitude de dire qu’un enfant de 5 ans doit pouvoir se servir de notre système facilement. Même si certains enfants de 5 ans se révèlent être plus experts que nous avec les NTIC, je veux dire par là que notre BtoB doit être très simple pour l’utilisateur.
i-tourisme : Sur un même écran ?
Christian Vanroy : Bien entendu. Les agences accèdent à notre production statique et dynamique sur le même écran, tout comme les ventes additionnelles, comme les transferts privés, la location de voiture, les packs excursion et bien sûr les produits bien-être.
i-tourisme : Le fait de proposer des longs-courriers, c’est aussi pour multiplier les offres ?
Christian Vanroy : Parfaitement et pour équilibrer notre saisonnalité. Tout à un sens dans notre redéploiement : apporter plus de flexibilité et les offres avec un maître-mot qui est celui de la maîtrise.
Nos clients nous sont fidèles. Nous devons maintenir un même niveau d’exigence tout en augmentant les offres.
i-tourisme : Ce n’est pas contradictoire, si vous multipliez les offres, vous aurez plus de mal à garantir les prix ?
Christian Vanroy : C’est une bonne remarque, mais non. Nous confirmons les premiers prix, dans une certaine limite bien entendu, pour ne pas décevoir nos clients au moment de la réservation.
Nous ne voulons pas que les contraintes techniques se superposent à celles du commercial. C'est une question d'algorithme et aujourd'hui nous voyons nos résultats en hausse.
Christian Vanroy : Parfaitement et pour équilibrer notre saisonnalité. Tout à un sens dans notre redéploiement : apporter plus de flexibilité et les offres avec un maître-mot qui est celui de la maîtrise.
Nos clients nous sont fidèles. Nous devons maintenir un même niveau d’exigence tout en augmentant les offres.
i-tourisme : Ce n’est pas contradictoire, si vous multipliez les offres, vous aurez plus de mal à garantir les prix ?
Christian Vanroy : C’est une bonne remarque, mais non. Nous confirmons les premiers prix, dans une certaine limite bien entendu, pour ne pas décevoir nos clients au moment de la réservation.
Nous ne voulons pas que les contraintes techniques se superposent à celles du commercial. C'est une question d'algorithme et aujourd'hui nous voyons nos résultats en hausse.