FFP, seul outil marketing des compagnies ?

Autres articles
-
Air France renforce sa lutte contre les violences sexuelles
-
Air France - KLM : désormais, vos Miles payent aussi vos billets de train !
-
Air France : une nouvelle option payante pour les tarifs light !
-
Air Antilles met la pression sur Air France et Corsair !
-
Air France et KLM suspendent (temporairement) Zanzibar en 2025
Bref les FFP comme on les appelle couramment sont devenus un outil marketing majeur des compagnies aériennes, voire même le seul outil marketing.
Qu’est-ce qui différencie par exemple le produit classe affaires du produit classe économique en Europe si ce n’est le nombre de "miles" associés aux tarifs « affaires » ?
Les sièges sont identiques, les prestations à bord sont aussi indigentes qu’en classe économique et les comptoirs d’enregistrement séparés sont de moins en moins utiles puisque les clients ont pris l’habitude d’éditer leur carte d’embarquement depuis leur ordinateur.
Certes il reste l’accès aux salons mais ceux-ci sont en général bondés, exigus et pour tout dire peu agréables. L’énorme différence de tarif, disons du simple au triple, n’est finalement justifiée que par l’attribution de « miles ».
Qu’est-ce qui différencie par exemple le produit classe affaires du produit classe économique en Europe si ce n’est le nombre de "miles" associés aux tarifs « affaires » ?
Les sièges sont identiques, les prestations à bord sont aussi indigentes qu’en classe économique et les comptoirs d’enregistrement séparés sont de moins en moins utiles puisque les clients ont pris l’habitude d’éditer leur carte d’embarquement depuis leur ordinateur.
Certes il reste l’accès aux salons mais ceux-ci sont en général bondés, exigus et pour tout dire peu agréables. L’énorme différence de tarif, disons du simple au triple, n’est finalement justifiée que par l’attribution de « miles ».