Dans un courrier adressé au premier ministre, Manuel Valls, publié sur Europe 1, l'Union des Métiers et des Industries de l'Hôtellerie (UMIH) alerte le gouvernement sur "l'explosion de la concurrence déloyale".
Parmi les activités citées, l'hébergement à la nuitée, la restauration à domicile, les soirées festives privées.
"Ces activités ne respectent aucune obligation et réglementations en vigueur, et de nombreuses recettes fiscales échappent à l'Etat.
Par conséquent, en 2014, pour la première fois depuis très longtemps, il n'y a pas eu de création d'emploi et les cessations d'activités augmentent", ajoute l'UMIH.
Le syndicat rappelle l'obligation des professionnels de posséder des licences pour conduire un taxi, ouvrir un débit de boissons, de respecter les règles d'hygiène et de sécurité, etc., qu'il oppose à ces "activités professionnelles illégales qui abusent du flou juridique et de l'absence de contrôle".
Parmi les activités citées, l'hébergement à la nuitée, la restauration à domicile, les soirées festives privées.
"Ces activités ne respectent aucune obligation et réglementations en vigueur, et de nombreuses recettes fiscales échappent à l'Etat.
Par conséquent, en 2014, pour la première fois depuis très longtemps, il n'y a pas eu de création d'emploi et les cessations d'activités augmentent", ajoute l'UMIH.
Le syndicat rappelle l'obligation des professionnels de posséder des licences pour conduire un taxi, ouvrir un débit de boissons, de respecter les règles d'hygiène et de sécurité, etc., qu'il oppose à ces "activités professionnelles illégales qui abusent du flou juridique et de l'absence de contrôle".
Renforcer les contrôles pour stopper les abus
L'UMIH demande donc au premier ministre de "faire respecter la loi existante et en renforcer les dispositifs pour stopper les abus et mettre un terme à cette économie de l'ombre".
Le syndicat demande, entre autres, l'interdiction pure et simple de la location de meublés à la nuitée et la fixation d'une durée minimale de location de 7 jours.
Mais aussi, une immatriculation auprès du Registre du Commerce et des Sociétés pour tout exercice de commerce ou à la Mairie pour tout hébergement commercial.
Ou encore, l'interdiction des soirées privées payées sur internet où la distribution d'alcool et la diffusion de musique ne répondent à aucune réglementation ni limitation.
Le syndicat demande, entre autres, l'interdiction pure et simple de la location de meublés à la nuitée et la fixation d'une durée minimale de location de 7 jours.
Mais aussi, une immatriculation auprès du Registre du Commerce et des Sociétés pour tout exercice de commerce ou à la Mairie pour tout hébergement commercial.
Ou encore, l'interdiction des soirées privées payées sur internet où la distribution d'alcool et la diffusion de musique ne répondent à aucune réglementation ni limitation.
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