Le Centre Pompidou, un des rares sites à avoir enregistré une progression de ses entrées en 2016. Photo LD.
En 2016, les hôteliers franciliens ont accueilli 31 millions de touristes, soit 1,5 million de moins qu’en 2015. La baisse fut moins importante que prévue grâce à la bonne fréquentation relevée en novembre et surtout durant les fêtes de fin d’année.
Depuis trois mois en effet, les chiffres sont encourageants : + 12,5 % d’arrivées en novembre et décembre 2016 par rapport à 2015 et même + 1,2 % par rapport à l’année record 2014.
Les professionnels ont confirmé cette embellie en janvier 2017.
Le marché américain a été le moins impacté : - 4,9 % soit une perte de 100 000 touristes américains.
Les plus impactés furent les Japonais : - 41,2 % soit une perte de 225 000. Les Chinois ont chuté de 21,5 % (-268 000), les Russes de – 27,6 % (- 65 000) et les Italiens de – 26,1 % (-215 000).
Depuis trois mois en effet, les chiffres sont encourageants : + 12,5 % d’arrivées en novembre et décembre 2016 par rapport à 2015 et même + 1,2 % par rapport à l’année record 2014.
Les professionnels ont confirmé cette embellie en janvier 2017.
Le marché américain a été le moins impacté : - 4,9 % soit une perte de 100 000 touristes américains.
Les plus impactés furent les Japonais : - 41,2 % soit une perte de 225 000. Les Chinois ont chuté de 21,5 % (-268 000), les Russes de – 27,6 % (- 65 000) et les Italiens de – 26,1 % (-215 000).
Une embellie venue du tourisme d’affaires
Grâce aux dispositifs d’enquêtes mis en place dans les aéroports de Paris, les trains et sur la route le manque à gagner a été estimé à près de 1,3 milliard d’euros : - 927 M€ pour les clientèles étrangères et – 353 M€ pour les clientèles françaises.
C’est à Paris intra-muros que la fréquentation touristique a le plus diminué (- 9,5 %) en termes de nuitées hôtelières alors qu’elle était de – 4,6 % en petite et grande couronne.
L’embellie vient du tourisme d’affaires et des rencontres professionnelles qui ont été en forte progression en 2016 par rapport à 2015. Les déplacements professionnels ont en effet généré 31,5 millions de nuitées hôtelières (¨soit + 9,4 millions), un chiffre supérieur à ceux des années record de 2011 et 2012 !
Le Centre Pompidou a été l’un des rares sites à tirer son épingle du jeu. Alors qu’en 2016 sa fréquentation augmentait de + 9 %, celle du musée du Louvre chutait de 13,3 %, du musée d’ Orsay de – 12,9 %, du château de Versailles de – 9,8 % et de Disneyland Paris, de - 9,5 %, la Tour Montparnasse de – 32 %.
Au-delà de la désaffection des touristes, ces chiffres à la baisse s’expliquent aussi par l’annulation des déplacements des groupes scolaires pour d’évidentes raisons sécuritaires.
L’évolution du nombre d’arrivées relevée durant dix ans fait ressortir une stabilité du marché touristique francilien oscillante entre 30,2 millions d’arrivées (2009) ) et 32,7 millions (2011 et 2012).
Marquée par les tragiques évènements de 2015, l’année 2016 s’est placée en avant dernière position. Sur cette même période de dix ans la clientèle française est restée la plus importante.
C’est à Paris intra-muros que la fréquentation touristique a le plus diminué (- 9,5 %) en termes de nuitées hôtelières alors qu’elle était de – 4,6 % en petite et grande couronne.
L’embellie vient du tourisme d’affaires et des rencontres professionnelles qui ont été en forte progression en 2016 par rapport à 2015. Les déplacements professionnels ont en effet généré 31,5 millions de nuitées hôtelières (¨soit + 9,4 millions), un chiffre supérieur à ceux des années record de 2011 et 2012 !
Le Centre Pompidou a été l’un des rares sites à tirer son épingle du jeu. Alors qu’en 2016 sa fréquentation augmentait de + 9 %, celle du musée du Louvre chutait de 13,3 %, du musée d’ Orsay de – 12,9 %, du château de Versailles de – 9,8 % et de Disneyland Paris, de - 9,5 %, la Tour Montparnasse de – 32 %.
Au-delà de la désaffection des touristes, ces chiffres à la baisse s’expliquent aussi par l’annulation des déplacements des groupes scolaires pour d’évidentes raisons sécuritaires.
L’évolution du nombre d’arrivées relevée durant dix ans fait ressortir une stabilité du marché touristique francilien oscillante entre 30,2 millions d’arrivées (2009) ) et 32,7 millions (2011 et 2012).
Marquée par les tragiques évènements de 2015, l’année 2016 s’est placée en avant dernière position. Sur cette même période de dix ans la clientèle française est restée la plus importante.
Les tendances nationale et internationales :
En France métropolitaine, la fréquentation hôtelière a atteint 112,6 millions d’arrivées et 200,1 millions de nuitées ce qui représentait par rapport à 2015 une stabilité pour les arrivées (-0,1 M) et un léger repli pour les nuitées (-1 %).
La demande touristique internationale a progressé de 3,9 % en 2016 pour atteindre plus de 1,2 milliard de touristes. En 2017, la hausse des arrivées internationales devrait se situer entre 3 et 4 % (source OMT).
La demande touristique internationale a progressé de 3,9 % en 2016 pour atteindre plus de 1,2 milliard de touristes. En 2017, la hausse des arrivées internationales devrait se situer entre 3 et 4 % (source OMT).