Pendant que TUI Travel France travaille à une réorganisation du tour operating, l’état d’esprit chez Tourinter, l’une des activités du groupe qui compte 60 collaborateurs, est plutôt serein.
Le spécialiste des îles annonce en effet un chiffre d’affaires de 75 millions d’euros, en progression de 35% pour l’exercice se terminant au 30 septembre, et un résultat d’exploitation positif de 2,8 millions d’euros.
Mieux encore, les ventes engrangées sur 2012 sont en progression de 30%, en ligne avec l’objectif fixé pour le prochain exercice.
L’Océan indien représente 60% des ventes de Passion des Iles dont 25% sur Maurice avec 8 000 pax. Les Antilles font 30% des ventes et la Polynésie 10%, même si cette dernière destination est globalement à la baisse.
Le spécialiste des îles annonce en effet un chiffre d’affaires de 75 millions d’euros, en progression de 35% pour l’exercice se terminant au 30 septembre, et un résultat d’exploitation positif de 2,8 millions d’euros.
Mieux encore, les ventes engrangées sur 2012 sont en progression de 30%, en ligne avec l’objectif fixé pour le prochain exercice.
L’Océan indien représente 60% des ventes de Passion des Iles dont 25% sur Maurice avec 8 000 pax. Les Antilles font 30% des ventes et la Polynésie 10%, même si cette dernière destination est globalement à la baisse.
"Nous avons réduit la production de 30%"
C’est que la réorganisation initiée par Christophe Pérot depuis mai 2008 a porté ses fruits.
« Nous avons réduit la production de 30%, retiré le cahier des prix de la brochure, renégocié tous les accords, changé d’équipement informatique, revu la politique sociale avec un système de primes pour les agents de resa et les commerciaux et décidé de rémunéré au même taux les produits brochures et les promotions », explique Fabrice Bouillot, le directeur de la production.
Tout est donc en place pour libérer suffisamment de temps à Christophe Pérot qui prend en charge la production long courrier de Nouvelles Frontières/Marmara.
Pour autant, le TO lyonnais serre les boulons. Le budget d’environ 150 000 euros qui finançait l’organisation des soirées Tour des Iles pour les distributeurs dans une douzaine de villes sera économisé.
« Nous avons réduit la production de 30%, retiré le cahier des prix de la brochure, renégocié tous les accords, changé d’équipement informatique, revu la politique sociale avec un système de primes pour les agents de resa et les commerciaux et décidé de rémunéré au même taux les produits brochures et les promotions », explique Fabrice Bouillot, le directeur de la production.
Tout est donc en place pour libérer suffisamment de temps à Christophe Pérot qui prend en charge la production long courrier de Nouvelles Frontières/Marmara.
Pour autant, le TO lyonnais serre les boulons. Le budget d’environ 150 000 euros qui finançait l’organisation des soirées Tour des Iles pour les distributeurs dans une douzaine de villes sera économisé.
Nouvelle destination : le Sri Lanka
En lieu et place, Passion des Iles by Tourinter prévoit d’éditer un journal trois fois par an, tiré à 20 000 exemplaires et envoyé aux 4 000 agences qui revendent les produits. Budget alloué à ce projet : 40 000 euros.
Comme l’explique Monique Crusot, la directrice marketing, « on est conscient que la crise économique peut toucher nos clients ». La prudence est donc de mise.
Quant à la nouvelle production toujours déclinée en trois brochures, Océan Indien (228 pages), Antilles (112 pages) et Polynésie (84 pages), elle s’enrichit d’une nouvelle destination, le Sri Lanka.
Comme l’explique Monique Crusot, la directrice marketing, « on est conscient que la crise économique peut toucher nos clients ». La prudence est donc de mise.
Quant à la nouvelle production toujours déclinée en trois brochures, Océan Indien (228 pages), Antilles (112 pages) et Polynésie (84 pages), elle s’enrichit d’une nouvelle destination, le Sri Lanka.
![Futuroscopie - Intelligence artificielle : une révolution, mais à quel prix ? [ABO]](https://www.tourmag.com/photo/art/large_16_9/86036293-61250896.jpg?v=1738236183 "Futuroscopie - Intelligence artificielle : une révolution, mais à quel prix ? [ABO]")
