Le futur A380 de Qatar Airways va-t-il se poser sur le tarmac de l'aéroport parisien ?
La question n'a pas encore été tranchée par son PDG Akbar Al Baker.
En revanche, il vient d'annoncer au salon ITB de Berlin que son tout premier A380 reliera Londres et Doha en décembre prochain.
Initialement, Qatar Airways avait passé commande de 13 appareils, dont 3 options.
Leur livraison a été plusieurs fois reportée pour attendre la fin des travaux du nouvel aéroport de Doha.
Celui-ci devrait finalement être inauguré mi-avril et pourra accueillir 30 millions de passagers.
Reste à savoir si Charles de Gaulle est toujours dans les plans de la compagnie pour relier ce nouvel aéroport avec un A380.
En juin dernier, Paris avait été évoquée comme une destination étudiée.
Lors de sa conférence de presse à Berlin, Akbar Al Baker a précisé que ses prochains A 380 seront positionnés dans les aéroports où les slots se font rares.
La question n'a pas encore été tranchée par son PDG Akbar Al Baker.
En revanche, il vient d'annoncer au salon ITB de Berlin que son tout premier A380 reliera Londres et Doha en décembre prochain.
Initialement, Qatar Airways avait passé commande de 13 appareils, dont 3 options.
Leur livraison a été plusieurs fois reportée pour attendre la fin des travaux du nouvel aéroport de Doha.
Celui-ci devrait finalement être inauguré mi-avril et pourra accueillir 30 millions de passagers.
Reste à savoir si Charles de Gaulle est toujours dans les plans de la compagnie pour relier ce nouvel aéroport avec un A380.
En juin dernier, Paris avait été évoquée comme une destination étudiée.
Lors de sa conférence de presse à Berlin, Akbar Al Baker a précisé que ses prochains A 380 seront positionnés dans les aéroports où les slots se font rares.
Le marché français en croissance à deux chiffres
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Une description qui correspondrait parfaitement à Charles de Gaulle, où Qatar Airways utilise actuellement la totalité de ses 21 droits de trafic sur le territoire français.
En juin dernier, elle même quitté l'aéroport de Nice afin de concentrer tous ses efforts sur Paris, avec une capacité additionnelle de 24%.
Elle propose désormais trois fréquences quotidiennes en A 340, ce qui lui permet d'améliorer les temps de connexions à Doha sur l'ensemble des 136 destinations de son réseau.
"Multiplier nos fréquences nous permet de mieux remonter dans les GDS, mais surtout d'offrir une plus grande flexibilité aux voyageurs d'affaires" explique Eric Didier, le directeur France.
A partir de mai prochain, l'un de ses A 340 part en révision et sera remplacé par un 777 configuré en bi-classe : 42 sièges affaires et 293 en économie.
"C'est un timing idéal pour répondre à la demande des clients loisirs pendant la saison estivale" poursuit Eric Didier. Sa capacité globale va ainsi augmenter de 80 sièges sur les trois mois d'été, avant que l'A 340 ne réintègre la flotte à la rentrée.
Si la compagnie ne communique aucune donnée précise sur ses résultats, Eric Didier assure connaître dans l'Hexagone une croissance à deux chiffres en terme de passagers et de chiffre d'affaires.
Mais fautes de nouveau droits de trafic, ses velléités de développement risquent d'être compromises, à l'instar de sa concurrente Emirates.
L'arrivée de l'A380 à Paris pourrait lui permettre de trouver temporairement une solution, en attendant de décrocher les fameux slots supplémentaires.
En juin dernier, elle même quitté l'aéroport de Nice afin de concentrer tous ses efforts sur Paris, avec une capacité additionnelle de 24%.
Elle propose désormais trois fréquences quotidiennes en A 340, ce qui lui permet d'améliorer les temps de connexions à Doha sur l'ensemble des 136 destinations de son réseau.
"Multiplier nos fréquences nous permet de mieux remonter dans les GDS, mais surtout d'offrir une plus grande flexibilité aux voyageurs d'affaires" explique Eric Didier, le directeur France.
A partir de mai prochain, l'un de ses A 340 part en révision et sera remplacé par un 777 configuré en bi-classe : 42 sièges affaires et 293 en économie.
"C'est un timing idéal pour répondre à la demande des clients loisirs pendant la saison estivale" poursuit Eric Didier. Sa capacité globale va ainsi augmenter de 80 sièges sur les trois mois d'été, avant que l'A 340 ne réintègre la flotte à la rentrée.
Si la compagnie ne communique aucune donnée précise sur ses résultats, Eric Didier assure connaître dans l'Hexagone une croissance à deux chiffres en terme de passagers et de chiffre d'affaires.
Mais fautes de nouveau droits de trafic, ses velléités de développement risquent d'être compromises, à l'instar de sa concurrente Emirates.
L'arrivée de l'A380 à Paris pourrait lui permettre de trouver temporairement une solution, en attendant de décrocher les fameux slots supplémentaires.