Philippe Vander Putten, un francophone spécialiste du marketing (photo Proximus Foundation)
Entretemps il suivra un stage de formation puisque, dès le 15 septembre, il va siéger au sein des deux compagnies aériennes aux côtés de Neil Burrows, l’actuel CEO, en vue « d'assurer une transition harmonieuse ».
Neil Burrows, qui lors de sa nomination, au moment de la fusion SN Brussels Airlines avec Virgin Express avait signalé qu’il quitterait la société à la fin de cette année.
Pour plusieurs raisons, cette nomination prend tout le monde à contre-pied. Tout d’abord le nouveau CEO ne vient pas du monde de l’aérien mais de la téléphonie mobile. Depuis 1998, il était à la tête de Proximus, le plus important opérateur de téléphonie mobile en Belgique.
C’est sans doute, son profil très « marketing » provenant d’un milieu aussi concurrentiel que l’aérien qui ont retenu l’attention du CA du groupe SN Air Holding et Virgin Express.
Un homme de marketing plutôt qu'un pro de l'aérien
Deuxième surprise : le recrutement ne s’est pas fait hors Belgique comme de nombreux observateurs le pensaient. Qui plus est, Philippe Vander Putten est francophone ce qui, en Belgique, peut être considéré comme un handicap dans l’industrie du transport.
Mais il est vrai que lorsqu’on analyse avec attention l’actionnariat de la SN Airholding on s’aperçoit que les actionnaires francophones sont important (Suez-Electrabel, Régions Wallonne et Bruxelloise, …)
Philippe Vander Putten a fait ses études à l'Institut d'Administration et de Gestion (IAG) à Louvain-la-Neuve et s'est lancé ensuite dans le marketing, sa branche de prédilection. Entrepreneur dans l'âme, ce manager né le 26 mai 1959 est passé par de nombreuses grandes entreprises (Procter & Gamble, L'Oréal, Kraft), où il a fait ses griffes et appris le métier de chef d'entreprise. En 1994, il est élu Marketeer de l'année.
En septembre 1998, Philippe Vander Putten arrive à la tête de Proximus, la filiale mobile de Belgacom. Il est également président du Conseil d'administration de la Proximus Foundation
Neil Burrows, qui lors de sa nomination, au moment de la fusion SN Brussels Airlines avec Virgin Express avait signalé qu’il quitterait la société à la fin de cette année.
Pour plusieurs raisons, cette nomination prend tout le monde à contre-pied. Tout d’abord le nouveau CEO ne vient pas du monde de l’aérien mais de la téléphonie mobile. Depuis 1998, il était à la tête de Proximus, le plus important opérateur de téléphonie mobile en Belgique.
C’est sans doute, son profil très « marketing » provenant d’un milieu aussi concurrentiel que l’aérien qui ont retenu l’attention du CA du groupe SN Air Holding et Virgin Express.
Un homme de marketing plutôt qu'un pro de l'aérien
Deuxième surprise : le recrutement ne s’est pas fait hors Belgique comme de nombreux observateurs le pensaient. Qui plus est, Philippe Vander Putten est francophone ce qui, en Belgique, peut être considéré comme un handicap dans l’industrie du transport.
Mais il est vrai que lorsqu’on analyse avec attention l’actionnariat de la SN Airholding on s’aperçoit que les actionnaires francophones sont important (Suez-Electrabel, Régions Wallonne et Bruxelloise, …)
Philippe Vander Putten a fait ses études à l'Institut d'Administration et de Gestion (IAG) à Louvain-la-Neuve et s'est lancé ensuite dans le marketing, sa branche de prédilection. Entrepreneur dans l'âme, ce manager né le 26 mai 1959 est passé par de nombreuses grandes entreprises (Procter & Gamble, L'Oréal, Kraft), où il a fait ses griffes et appris le métier de chef d'entreprise. En 1994, il est élu Marketeer de l'année.
En septembre 1998, Philippe Vander Putten arrive à la tête de Proximus, la filiale mobile de Belgacom. Il est également président du Conseil d'administration de la Proximus Foundation