Avec Marco et Vasco, nous aurons désormais une marque unique et "différenciante", en rupture avec l'univers du voyages. - Capture écran
TourMaG.com - Pourquoi avez-vous décidé de changer de nom pour Marco et Vasco ?
Geoffroy de Becdelièvre : "PlanetVeo était un mauvais nom, les clients l'orthographiaient mal et tombaient sur un site de vente de logiciels de véhicules d'occasion.
Par ailleurs, ils retenaient uniquement les marques destinations, et encore pas vraiment.
Ils citaient par exemple PlanetUSA, alors que notre site dédié aux Etats-Unis s'appelle USAVeo.
Il y a également un très fort décalage entre notre notoriété et notre croissance. En 5 ans, nous sommes passés de 0 à 60 M€ de chiffre d'affaires.
En 2013 nous avons réalisé une progression de 50% et fait voyager 22 000 pax.
Avec Marco et Vasco, nous aurons désormais une marque unique et "différenciante", en rupture avec l'univers du voyage. Nous ne souhaitions pas utiliser de mots tels que vacances, voyage ou partir...
C'est une référence à Vasco de Gama et à Marco Polo qui sont en quelque sorte les ancêtres du voyage sur mesure.
Les marques déclinées par destinations disparaîtront."
Geoffroy de Becdelièvre : "PlanetVeo était un mauvais nom, les clients l'orthographiaient mal et tombaient sur un site de vente de logiciels de véhicules d'occasion.
Par ailleurs, ils retenaient uniquement les marques destinations, et encore pas vraiment.
Ils citaient par exemple PlanetUSA, alors que notre site dédié aux Etats-Unis s'appelle USAVeo.
Il y a également un très fort décalage entre notre notoriété et notre croissance. En 5 ans, nous sommes passés de 0 à 60 M€ de chiffre d'affaires.
En 2013 nous avons réalisé une progression de 50% et fait voyager 22 000 pax.
Avec Marco et Vasco, nous aurons désormais une marque unique et "différenciante", en rupture avec l'univers du voyage. Nous ne souhaitions pas utiliser de mots tels que vacances, voyage ou partir...
C'est une référence à Vasco de Gama et à Marco Polo qui sont en quelque sorte les ancêtres du voyage sur mesure.
Les marques déclinées par destinations disparaîtront."
Geoffroy de Becdelièvre - DR
TourMaG.com - Combien va coûter ce changement de marque ?
G. de B. : "Nous avons travaillé avec une agence de communication.
L'investissement en externe doit s'élever aux alentours de 50 K€. Nous pouvons doubler ce coût au minimum pour le travail que nous avons effectué en interne depuis 6 mois."
TourMaG.com - Avec ce nouveau nom, et la levée de fonds que vous avez effectué en juin dernier lire quels sont vos projets ?
G. de B. : "Nous allons stabiliser notre croissance aux alentours de 30% par an.
Après l'acquisition clients et une forte croissance depuis 5 ans, nous allons porter notre attention sur la notoriété de la marque et sur la fidélisation du client.
Nous sommes passés d'un modèle de conquête à un modèle de fidélisation. Parallèlement, de gros investissements sur le plan technologique sont prévus pour améliorer nos outils en interne.
Enfin, nous nous tournons vers l'international. Nous testons différents marchés notamment sur le marché britannique via le site travel.japonveo.com."
G. de B. : "Nous avons travaillé avec une agence de communication.
L'investissement en externe doit s'élever aux alentours de 50 K€. Nous pouvons doubler ce coût au minimum pour le travail que nous avons effectué en interne depuis 6 mois."
TourMaG.com - Avec ce nouveau nom, et la levée de fonds que vous avez effectué en juin dernier lire quels sont vos projets ?
G. de B. : "Nous allons stabiliser notre croissance aux alentours de 30% par an.
Après l'acquisition clients et une forte croissance depuis 5 ans, nous allons porter notre attention sur la notoriété de la marque et sur la fidélisation du client.
Nous sommes passés d'un modèle de conquête à un modèle de fidélisation. Parallèlement, de gros investissements sur le plan technologique sont prévus pour améliorer nos outils en interne.
Enfin, nous nous tournons vers l'international. Nous testons différents marchés notamment sur le marché britannique via le site travel.japonveo.com."
TourMaG.com - Avez-vous l'intention d'ouvrir des agences physiques en propre ?
G. de B. : "Ce n'est vraiment pas un projet qui est dans les tuyaux.
Je ne crois absolument pas au modèle de l'agence physique avec deux experts derrière le comptoir.
Le modèle de Marco et Vasco est basé sur des conseillers ultra-experts qui vendent une, voire deux destinations.
Nous ne pourrions jamais avoir 50 conseillers par agence correspondant à nos destinations. Étonnamment, il n'y a pas d'autre modèle que celui des conseillers au téléphone pour créer autant de valeur et d'expertise.
Pour notre modèle, je n'ai pas la réponse, mais ce ne sera pas une agence physique classique, c'est certain..."
G. de B. : "Ce n'est vraiment pas un projet qui est dans les tuyaux.
Je ne crois absolument pas au modèle de l'agence physique avec deux experts derrière le comptoir.
Le modèle de Marco et Vasco est basé sur des conseillers ultra-experts qui vendent une, voire deux destinations.
Nous ne pourrions jamais avoir 50 conseillers par agence correspondant à nos destinations. Étonnamment, il n'y a pas d'autre modèle que celui des conseillers au téléphone pour créer autant de valeur et d'expertise.
Pour notre modèle, je n'ai pas la réponse, mais ce ne sera pas une agence physique classique, c'est certain..."